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Tout change, rien ne change...
Un soir de novembre 1948 sous De Gaulle, un certain François Mittérrand, Ministre des Anciens Combattants et des Victimes de guerre, demande à son chauffeur Alfred qui le reconduit à son ministère, de s'arrêter à l'orée d'un bois, histoire de s'en griller une et de penser à la magie de l'automne. Respirant la fraicheur des essences boisées, François (dont De Gaulle était à ce moment le patron) tint à peu près ce discours/monologue à Alfred :
"S'il existe un homme qui peut arrêter le Général de Gaulle, je suis cet homme". (merci de corriger si vous avez la phrase exacte).
Source : La paille et le grain (journal et chroniques de François Mittérrand).

Je sais que personne n'aime Mittérrand ici, on lui reproche ses magouilles à gogo mais franchement, franchement, c'est un peu prévisible quand on naît à Jarnac...

Plus sérieusement, ce que je voudrais en fait c'est penser à l'avenir quelques instants. Voulez-vous m'accompagner dans ce voyage merveilleux ?
N'y a-t-il pas un Mittérrand en ce moment tapit dans l'ombre du gouvernement, attendant la moindre occasion pour déballer ses couilles velues sur les plateaux télés. Un meque qu'aurait la classe, qui ferait bander les ménagères et mouiller les cadres dynamiques surfeurs d'argent wannabe. Un mec qu'aurait fait partie de l'extrême droite à ses heures mais qui dans le fond aurait l'âme d'un gauchiss'. Un homme qui traiterait les femmes comme des salopes, leur faisant tour à tour des enfants et fist-fuck dans le dos.
Un homme comme Patrick Devedjian.