Oui bon, ben quoi, je me réponds... Puisque je suis tout seul en ligne, autant en profiter...
"Horatio, il y a plus dans le ciel et sur la terre que l'homme ne peut en rêver" (Hamlet, le même)
Alors que penser ?
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Le Vrai Asile » Messages de MANa
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Oui bon, ben quoi, je me réponds... Puisque je suis tout seul en ligne, autant en profiter...
"Horatio, il y a plus dans le ciel et sur la terre que l'homme ne peut en rêver" (Hamlet, le même)
Alors que penser ?
Merci pour cette mise au point. Je ne peux que m'incliner devant quelqu'un qui cite Jorge Semprun en train de tailler Heidegger et Louer Wittgenstein tout en le ramenant à sa juste (dé)mesure... Grands esprits, petits hommes.
Pourtant, je ne peux m'empêcher de céder à la couardise moi aussi, devant tant de solidité herméneutique:
"Life is a tale told by an idiot, full of sound and fury, signifying nothing..." (The Tempest, Shakespeare)
Quoique perso, je ne fasse que spéculer (en aussi, mais c'est un autre débat) et que je n'exprime pas vraiment le fondement de ma pensée.. Ce serait trop fécal, pardon facile...
Merci en tous les cas, je me sens moins con aprés avoir lu ça
Et ça c'est fort !
Remarquez, c'est pas pour me vanter, mais en balançant le génocide des fourmis, je me doutais que j'allais faire plaisir... Sauf à Imax et Vak qui ne voient pas l'aspect cathartique et franchement hilarant de vos témoignages... Gloire au Darkdreamer (et je n'adore personne, foi d'Etre Libre), qui a su replacer en leur contexte vos délicats souvenirs et les émotions fugaces liées aux premiers soubresauts de votre conscience.
PUISQUE TOUT EST LA
T'es conscient d'être en vie, donc t'es pas mort.
Tu peux pas être conscient d'être mort, parce que si t'es conscient, t'es pas mort.
Prendre conscience qu'on peut faire mourir, ôter la vie,
Donne l'idée du possible de sa propre mort.
Mais ça sert à rien,
sinon d'être conscient,
qu'on est pas mort...
Syllogisme inutile ?
La mort ne pouvant être défini que comme "n'étant pas" (un état de conscience, des rythmes cardio-vasculaires, des ondes cérébrales... ce que vous voulez).
Les plus obtus auront compris : la mort n'existe pas, ou alors seulement pour décrire un état opposé à l'état de conscience individuelle.
Question existentielle pour les courageux qui lisent les textes des abrutis de mon type atteint de loghorrée :
LES AMIBES PROTOZOAIRES SONT-ELLES VIVANTES OU MORTES ? ONT-ELLES CONSCIENCES DE LEUR ETAT D'ORGANISME MONOCELLULAIRE ?
Je ne vise personne en particulier, mais je suis content qu'UBISOFT ait survécu à IMAX même si je regarde les GEEK avec humour et dérision... je vous aime bien quand m^me, et j'emmerde les jeux vidéos, c'est un truc perso.
Eh oui.. Moi j'ai arrêté au stade où j'enfermais deux scorpions ou un tout seul dans un bocal pour qu'ils se niquent la gueule. Mais c'est rare en fait qu'ils se suicident. Faut pas déconner, c'est bien connu que ça résiste au nucléaire ces bestiaux... Pas comme ces tarés d'autres animaux... On en voit les effets sur certains d'entre nous...
En quoi le hasard devrait-il absolument être simple?
Le Hasard du mot auvergnat Azar, qui signifie grosso merdo Destin... Ou quand l'aléatoire est désigné par un mot qui signifie déterminisme... ça fleure le foutage de gueule à l'échelle cosmique.
Alors spéciale dédicace pour Muad'Dib (live): Quand j'avions cinq ans, dans la cour de mon école primaire ils faisaient des travaux (la cantine ou les chiottes, enfin là où il y a de la merde de toutes les façons). Et ben tu sais quoi ? Mon premier mort que j'ai vu en direct c'est Laurent Chevalier (eh oui c'était son nom) qui s'est pris le palan de la grue dans la gueule parce qu'il regardait de l'autre côté de la palissade et que le pauvre grutier et ben il a débordé... La tête pas éclatée, on voyait pas le côté enfoncé. Il avait juste l'air de dormir par terre. Mais y avait une flaque de sang qui s'élargissait, s'élargissait...
La prochaine fois pour t'endormir, tu te raconteras l'histoite du génocide des fourmis de quand t'avais deux ans...
HI Folks,
(c'est émouvant, comme une première fois, on se sent rajeunir)
Je me permets (liberté chérie je mourrais dans tes bras):
Avons nous l'âge de notre conscience ou de notre substance ?
Ben non c'est pas que c'est des questions à la con, c'est juste au-delà des mots.
Tu cherches quoi ?
une réponse, sous forme de connaissance (contenu théorique scientifico-religioso-metaphysico...)
Ou es-tu prêt à admettre que nous savons tout dès notre venue au Monde... (naissance) ?
Que la mort n'est que l'oubli de la conscience de soi... et donc ne te concerne pas.
Envoie chier le dualisme cartésien esprit corps.
Trouve toi un maître zen qui te donne la conclusion
et en bon disciple fais le chemin pour capter ce qu'il t'aura enseigné.
esse percipere est (hé oui, je suis grossier, je sais) comme disait Berkeley...
la bière ou l'odeur de son intimité par exemple.
Panique pas
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