Vous n’êtes pas identifié. Veuillez vous connecter ou vous inscrire.
Le Vrai Asile » Messages de Kamoulox
[video]http://www.youtube.com/watch?v=E7WuQoF3 … e=youtu.be[/video]
c'est le mouvement qui dérègle pas sa conséquence
On dirait Wario
[video]http://www.youtube.com/watch?v=oJLqyuxm96k[/video]
Un mec qui chie sur les fonctionnaires et qui bosse dans une SA avec 30 % de capitaux publics structurée comme une établissement public c'est surtout un mytho, de plus je vois mal ce qu'un cadre dirigeant irait foutre tout les mois à St Domingue dans le cadre de ses fonctions
[video]http://www.youtube.com/watch?&v=ZfE4bFsSHzU[/video]
Contrôle des transferts physiques de fonds
Les pouvoirs publics ont toujours éprouvé une certaine méfiance à l'égard des transferts physiques de devises. Si rien n'est plus normal pour un touriste que d'emporter des sommes raisonnables lui permettant d'assumer les frais de son séjour, l'importance excessive de leur montant peut laisse planer un soupçon, soit sur la manière dont elles ont été acquises, soit sur les raisons de leur transfert. L'essentiel des règles applicables en la matière est encadré par le règlement (CE) no 1889/2005 du Parlement européen et du Conseil du 26 octobre 2005 (JOUE, no L 309, 25 nov.) et figure aux articles L. 152-1 et R. 152-6 à R. 152-9 du code monétaire et financier, issus de la loi no 2006-1771 du 30 décembre 2006 (JO 31 déc.) du décret no 2007-1638 du 19 novembre 2007 (JO 22 nov.).
On examinera successivement les dispositions qui concernent l'obligation de déclaration et celles qui traitent des suites de la déclaration.
§ 1 - Obligation de déclaration
L'obligation de déclaration vise aussi bien la circulation de l'argent liquide entre le territoire de la Communauté européenne et les États tiers que celle des sommes en provenance ou à destination d'un autre État membre. L'énumération des instruments sur lesquels porte la déclaration résulte tant de l'article 2, 2 du règlement communautaire, en ce qui concerne les transferts provenant ou destinés à un État tiers, que de l'article R. 152-7 du code monétaire et financier, pour les transferts entre États membres. Dans les deux cas, elle ne touche que les transferts portant sur une valeur de 10 000 € au moins.
Sont ainsi visés dans des termes identiques les instruments négociables au porteur, y compris les instruments monétaires au porteur tels que les chèques de voyage : les instruments négociables (y compris les chèques, les billets à ordre et les mandats) qui sont soit au porteur, soit endossés sans restriction, libellés à l'ordre d'un bénéficiaire fictif, soit sous une forme telle que la propriété de l'instrument est transférée au moment de la cession de celui-ci ; les instruments incomplets (y compris les chèques, les billets à ordre et les mandats) signés, mais où le nom du bénéficiaire n'a pas été indiqué. Sont enfin comprises dans la liste les espèces (billets de banque et pièces de monnaie qui sont en circulation comme instruments d'échange).
Le règlement ayant offert aux États membres le choix de la forme dans laquelle doit être effectuée la déclaration (écrite, orale ou électronique), la France a décidé d'imposer la forme écrite (C. mon. fin., art. R. 152-6) dans tous les cas, sans que les raisons de cette option apparaissent clairement. La réglementation française prévoit que la déclaration imposée dans le cas de transfert avec un État tiers doit être faite « au moment de l'entrée ou de la sortie de la Communauté européenne », expression dont on ne pourra manquer de relever l'incorrection stylistique (art. R. 152-6), alors que, en cas de transfert intracommunautaire, elle doit être présentée « au plus tard au moment du transfert » (art. R. 152-7). Il est donc possible d'adresser la déclaration par voie postale, dans ce dernier cas, préalablement au transfert, mais dans un délai maximal de cinq jours ouvrables avant celui-ci. Dans les deux cas, c'est l'administration des Douanes qui la reçoit. Sur ce dernier point, il est permis d'exprimer des doutes quant à l'application de cette réglementation aux transferts de fonds intracommunautaires. Si la règle pouvait se justifier à l'époque où subsistaient des postes frontières entre les États membres, elle est, à notre avis, devenue absolument inconciliable avec la suppression de ces derniers depuis l'instauration du Marché unique le 1er janvier 1993. À supposer un voyageur, soucieux de respecter le texte, qui souhaiterait effectuer sa déclaration « au passage de la frontière », il serait bien en peine, la plupart du temps, de trouver un douanier national apte à la recevoir. Et, même s'il s'adressait au premier poste de douane rencontré ou répondait à un contrôle douanier inopiné ultérieur, ne pourrait-il se voir reprocher d'avoir effectivement « franchi la frontière » sans avoir effectué sa déclaration ? Quant au franchissement de la « frontière » franco-monégasque, il relève d'une vision surréaliste. Il est pourtant rappelé dans une décision administrative émanant de la Direction générale des douanes (Décis. no 09-043 du 25 juin 2009, BOD 26 juin) que « la principauté de Monaco ne fait pas partie de la Communauté européenne. Tout mouvement d'argent liquide entre la principauté de Monaco et la France est donc soumis au dispositif déclaratif communautaire ». Cette règle est d'autant plus étrange que, en ce qui concerne la surveillance des investissements (V. infra, no 42), la principauté de Monaco est considérée comme faisant partie intégrante du territoire français.
Quant aux informations que cette déclaration doit contenir, elles sont à nouveau pratiquement communes aux deux hypothèses. Elles comportent l'indication des nom et prénoms, de la date et du lieu de naissance du déclarant, de sa nationalité (pour les transferts intracommunautaires, du propriétaire des sommes, titres ou valeurs [appelés « argent liquide » par le règlement]), du destinataire projeté de cet argent liquide (le texte français précise « lorsque le transfert est opéré pour le compte d'un tiers », ce qui semble aller de soi), son montant et sa nature, sa provenance et l'usage qu'il est prévu d'en faire, l'itinéraire de transport, le ou les moyens de transport. Ces dispositions sont rendues applicables aux envois postaux par l'article R. 152-8 du code monétaire et financier.
§ 2 - Suites de la déclaration
Les textes en vigueur sont étrangement discrets sur l'utilisation des informations obtenues par les autorités compétentes grâce aux déclarations qui leur sont faites. Le règlement communautaire se contente de prévoir que ces informations « sont enregistrées et traitées par les autorités compétentes de l'État membre […] et sont mises à la disposition des autorités dudit État membre visées à l'article 6, paragraphe 1er, de la directive 91/308/CEE », laquelle traite de la prévention du blanchiment d'argent. Le code monétaire et financier, quant à lui, est muet sur la question. On peut néanmoins supposer que l'administration des Douanes ne se privera pas de transmettre ses informations, selon le cas, à la direction du Trésor, à la Banque de France, voire au service Tracfin (V. Blanchiment de capitaux et financement du terrorisme). La possibilité d'échanges d'informations avec les autres États membres et la Commission (Règl., art. 6), voire avec les autorités des pays tiers, est également reconnue sous certaines conditions.
On ne peut qu'être troublé par une disposition singulière du règlement communautaire (art. 5, 2), qui permet aux autorités nationales compétentes d'enregistrer et de traiter certaines des informations qu'elles ont recueillies à la suite du « contrôle des personnes physiques, de leurs bagages et de leurs moyens de transport » ; encore ne s'agit-il (pourquoi ces restrictions ?) que des nom et prénoms desdites personnes, de leur nationalité et des précisions sur les moyens de transport qu'elles ont utilisés. Mais cette possibilité n'est ouverte que s'il ressort des contrôles que la personne en question « entre dans la Communauté ou en sort avec une somme en argent liquide inférieure au seuil [de 10 000 €] et qu'il existe des indices d'activités illégales associées à ce mouvement d'argent liquide ». Autrement dit, si le voyageur n'est pas, par définition même, tenu d'effectuer une déclaration, mais qu'un douanier découvre dans sa serviette une somme, disons de 5 000 €. Il résulte du texte ci-dessus : 1o que le voyageur en question ne pourra pas être verbalisé pour défaut de déclaration, mais que 2o il devra néanmoins fournir les éléments essentiels qu'il aurait fournis s'il avait dû en établir une, éléments qui seront enregistrés et transmis aux autorités chargées de la prévention du blanchiment « s'il existe des indices d'activités illégales associées à ce mouvement d'argent liquide », et cela sur la base de la seule appréciation du douanier. On a du mal à comprendre comment concilier cette étrange situation avec l'article 8 du règlement, aux termes duquel « toute information de nature confidentielle, ou fournie à titre confidentiel, est couverte par le secret professionnel. Elle n'est pas divulguée par les autorités compétentes sans l'autorisation expresse de la personne ou de l'autorité qui l'a fournie » (sur les sanctions qui s'attachent au non-respect de l'obligation de déclaration, V. infra, nos 96 et s.).
American Horror Story parce qu'on est dimanche, qu'on a, en vrac : une triso flippante, des morceaux d'enfants dans des bocaux, une gouvernante tour à tour vieille bigote qui n'a qu'un oeil et soubrette dans la fleur de l'âge à t'en faire péter la braguette, des jumeaux roux, une combinaison SM en latex, un grand brulé et parce que Connie Britton M.I.L.F parmi les M.I.L.F
Peur d'une série Z un peu cheap mais un bon pilote, je vois pas trop comment ils vont faire tenir le truc mais en attendant c'est pas mal.
Là dessus la, très passable, adaptation de "je suis une légende" est pas mal : il se promène dans Time Square en Mustang et a même poussé le vice jusqu'à accrocher des Van Gogh piqués au musé dans son couloir.
http://revoirlatele.com/replay-action-d … lges-96086
Drôle, vraiment drôle
Y'a que moi qui trouve ça trop gros que le personnage qui crée les labyrinthes et surtout qui aide Cobb a en sortir (parce que finalement si elle entre dans les rêves c'est principalement pour ça) s'appelle Ariane ?
Je penses que Nolan a fait comme les scénaristes de Lost passé un temps : il a jeté des idées en l'air sur un postulat de départ sans donner les solutions tout en multipliants les pistes afin que chacun cherche son explication sans qu'il y en ai une avèrée.
Si tu pousse la pseudo piste sur le prénom d'Ariane tu peux aussi penser que la victime de l'Inception est Cobb qu'Ariane essaye d'aider à sortir de son rêve (là j'ai pas plus d'arguments qui viennent en tête et je dois aller taffer mais je suis sur d'arriver à faire coller cette hypothèse avec deux ou trois raccords un peu vaseux sur le déroulement du film)
Parce que justifier ses fautes de conjugaison en répondant qu'on est un super globe-trotter et faire les réponses suivantes en anglais c'est pas faire son "intéressant" ?
Les deux seules personnes à perdre leur grammaire et conjugaison natales au bout de 3 ans sont David Charvet et JC Van Damme.
je viens de refaire mon retard grâce la vacuité télévisuelle ambiante en me faisant les 2 premières saisons :
La saison 1 est vraiment lente tant au niveau du rythme par épisode que dans le cheminement de la saison mais elle a le mérite de poser les bases de l'histoire :
- Don se débat avec son passé tout en montant dans le milieu de la pub, le personnage bourré à la testostérone qui attire et tape dans tout ce qui bouge, bien évidemment marié.
- Betty, femme de Don, exhibe ses cornes de desperate housewife dans la zone pavillonnaire chic de New York, elle est surtout là au début pour nous rappeler le contexte social de l'époque.
- Peggy Olson, l'affreuse nouvelle secrétaire, prend l'ascenseur social tant bien que mal et représente l'émancipation de la femme dans les années 60.
- En vrac et moins important : Campbell, le petit con parachuté rempli son rôle de poil à gratter, Joan Holoway fait sa secrétaire/Marilyn avec son 100 E de tour de poitrine, Sterling l'associé majoritaire en vieux beau influent, Cooper l'autre associé majoritaire en dingo influent, et tout une équipe de créatifs, comptables, clients et secrétaire autour d'eux.
En gros pendant la 1ère saison : ils fument beaucoup, boivent trop et baisent, le tout pendant leurs heures de travail, pendant que les scénaristes posent les bases.
Dans la saison 2 : les choses se précisent, le bateau prend l'eau pour Don et pour d'autre pendant que certains avancent avec les dents longues, apparition de nouveaux personnages, analyse des traumas des années 60, tout le monde fume, boit et baise toujours mais on s'en fout un peu plus parce que le fond prend le dessus sur la forme.
C'est pas une série culte, je comprend que ça ennuie certain mais le format de 13 épisodes par saison est une bonne idée et pour peu qu'on ai pas grand chose à regarder c'est un bon passe temps bien réalisé et documenté.
J'ai relu et je me suis rendu compte que en fait non.
Imax à écrit :
T'es au courant que suivre un cursus qui implique (j'imagine) de chier un rapport, de passer des exams et autres sur un sujet dont tu n'as (à priori) rien à foutre, ça risque de juste être un peu difficile pour toi ?
Sinon pour reformuler simplement, es-tu au courant que ce que tu viens demander ici est absurde ?
La motivation je l'ai et j'ai des arguments, je viens juste chercher des techniques afin de rendre ma lettre différente des autres afin qu'elle se démarque et fasse la différence avec la centaine d'autres lettres inspirées de modèles standards.
Je sèche complètement sur la lettre de motivation à joindre avec mon dossier pour intégrer Science Po. en 4ème année, que j'ai attentionnellement oublié de mettre dans l'enveloppe par manque d'inspiration mais je pensais pas qu'ils se rendraient aussi vite compte qu'il manquait quelque chose à mon dossier.
J'ai bien des idées pour rédiger une lettre type mais vraiment aucune pour me distinguer et faire la différence.
Ah oui et je dois justifier mon choix de "Gestion de projets, coopération et développement en Amérique latine" et à part l'exotisme et la qualité de la drogue j'ai rien trouvé de pertinent, bien sur pour relever la challenge j'ai jamais foutu les pieds en Amérique latine.
J'en appel donc aux experts du site de cuisine, j'ai aussi un peu de mal à trouver des lettres de recommandation pendant que j'y suis.
Le film d'un Spielberg pas encore Bankable, pas le plus connu ni le plus récent donc il y'a des chances que certains soient passé à coté.
Je suis pas un grand fan de Spielberg mais j'avoue que j'aime ce film.
le synopsis (allociné) : En 1941, la concession internationale de Shanghaï semble ignorer tout de l'occupation japonaise du reste du pays. James Graham, jeune fils d'un industriel britannique, y vit une existence protégée et pleine d'aventures imaginaires. Mais l'attaque de Pearl Harbour marque la fin de cet état de grâce, et James se retrouve séparé de sa famille. Condamné au statut d'errant, il se retrouve finalement emprisonné dans un camp de prisonniers où il doit apprendre à survivre...
En gros un film initiatique avec Malkovich en guide et Christian "Batman" Bale en gosse de 13 ans paumé en Chine.
C'est une boite privée qui organise le truc ou c'est occasionnel ?
Et les véhicules sont fournis ou chacun vient avec son Panzer ?
(tu serais parti en Irak t'aurais pu : ne rien payer, être rémunéré, tirer à balles réelles, tirer sur des ressortissants non-européens à la pigmentation accentuée)
encore une victime des Tokyo Hotel : enculés d'allemands ça leur a pas suffit de nous refiler l'Alsace et la Lorraine, un peuple d'une cruauté sans nom.
Le Vrai Asile » Messages de Kamoulox
Propulsé par PunBB, supporté par Informer Technologies, Inc.
Généré en 0,100 secondes, 62 requêtes exécutées