1

(867 réponses, dans Le coin du spoiler)

Du bon C4C4.... y a plus rien de sympa qui me transporte

C’est vrai : comment Jean Neige s’est fait prendre?
Pas de témoin, pas de corps...
Il a avoué son crime.
Ensuite les immaculés... le mettre en prison au lieu de le tuer de suite
J’avais pas noté : merci

Au moins a l’épisode 3, il s’est passé quelque chose

Seule scène qui vaut la peine d’être vue : le clegane bowl.
Le reste va être... décevant

Les Targaryens = Melniboneens (dragons, île, sorciers, épées magiques et cheveux blanc argenté)
Vous me ferez 10 pompes

Oui c’est bien moi

Fin médiocre qui essaye de vous faire croire à une réflexion mûrie, tout le drame se décompose dans l’episode 3.
Épisode 4 et 5 en accéléré et y a juste la moitié du dernier qui est intéressant (clegane bowl).

8

(16 459 réponses, dans Culture & médias)

thedarkdreamer a écrit:
stuffed spectrum a écrit:
Conrad a écrit:

"Concepts à retenir"

Le mec ne va pas bien.

C'est comme si stuffed avait un cousin breton.

Le mec va plutôt bien, c'est du Céline à ce niveau.

Les gauchistes humanitaires sont en réalité des éléments antisociaux narcissiques compensant leur manque d’empathie
envers leur propre peuple par une idéalisation des communautés tribales primitives où ils veulent se valoriser

Bof, c'est du jargon pour dire en plus universitaire "y'en a que pour les étrangers, les français peuvent crever, on se soucie que des pas français"

Curieusement, personne n'a à ma connaissance tenté l'expérience, puisque c'est si confortable, de déchirer son passeport et de prétendre à toute force être un nouvel arrivant albanais venant demander l'asile.

Qui raconte des méchancetés sur les Albanais!

9

(29 434 réponses, dans Liens à la con)

Jakovazor a écrit:

Le saviez tu ? Il paraitrait que le mot mange merde d'avocat, du fruit, viendrait directement du mot testicule en langue d'ancetres mexicains et ce du fait de la similitude du fruit a cet organe.

Comme orchidée !

10

(4 606 réponses, dans LA FIN DU MONDE)

aliocha a écrit:

La seule vraie question c'est : maintenant qu'on est du côté des gentils, est-ce qu'on va réussir à leur vendre nos RAFALES ?

Exactement !
Il faut voir cette crise comme une opportunite!
Pensez à nos chômeurs!

Ce qui est bien, à Lyon, c'est qu'avec le TGV, tu peux rapidement monter sur Paris pour les sorties.
C'est sur, Lille et Tours, c'est mieux (une heure seulement pour aller à Paris).

Comme Félix Faure, Monsieur Maurice voulait être César, il a finit pompé.

Repose en paix.

13

(4 449 réponses, dans Ask Hohun !)

aliocha a écrit:

Oh on peut en rajouter :
http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9bertistes
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stalinisme

Et là je te garantis qu'on n'en était pas à la simple interdiction de la pratique religieuse en public ou de la persécution du clergé, mais que la croyance était aussi interdite dans la sphère privée.

Je confirme pour l'Albanie. La pratique et la croyance étaient interdites. Tu pouvais être arrêté par dénonciation pour avoir fait un signe de croix. Ensuite, on te soumettait à la torture pour te faire avouer que tu croyais, et on t'envoyait en camps de travail pour te re-éduquer

14

(6 réponses, dans Le coin du spoiler)

SojaCouille a écrit:

Dans la série, la corneille à 3 yeux, c'est comme Actarus qui fait demi-tour 2 fois en descendant la rampe d'accès à Goldorak.

Une putain de scène relou tournée une fois et repassée à chaque épisode pour allonger la sauce à moindre cout.

pas tout à fait

C'est un énorme spoiler, mais c'est super difficile de savoir qui est Brynden Rivers pour les gens qui ont vu que la série télé.

La corneille à trois yeux c'est Brynden Rivers.

C'est Brynden Rivers

18

(22 364 réponses, dans Liens à la con)

Je me demande ou ils sont aller chercher ça?

19

(29 434 réponses, dans Liens à la con)

aliocha a écrit:

Elle a pas de cellulite, mais elle a des bleus.

Elle se fait taper, elle doit être albanaise

20

(127 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

mais ou est passé napalm???

21

(12 réponses, dans Questions / Réponses)

j'imaginais autre chose...

22

(111 réponses, dans La une)

C@ddy50 a écrit:
Sergent a écrit:
C@ddy50 a écrit:

En es-tu certain?

De mémoire, le recul d'une balle à blanc est vraiment faible. Le bruit aussi.
Et un canon qui pète, c'est impossible de ne pas s'en rendre compte.

Peut être que le BTB était mal attaché, ou qu'il a été chassé avec la pression sans endommager le canon.
Dans le feu de l'action il ne l'a peut être pas remarqué.
N'étant pas militaire, je ne connais pas le dispositif de fixation du BTB sur le canon, tu peux nous en dire plus?

Un BTB doit être bien attaché, sinon le réarmement n'est plus automatique (plus assez de gaz dans la chambre pour réarmer).

23

(111 réponses, dans La une)

C@ddy50 a écrit:
Sergent a écrit:

D'abord parce qu'il me parait impossible que le sergent n'ai pas perçu dés la première balle de l'éclatement du BTB et du canon.

En es-tu certain?

De mémoire, le recul d'une balle à blanc est vraiment faible. Le bruit aussi.
Et un canon qui pète, c'est impossible de ne pas s'en rendre compte.

Bien-sûr, je n'envisage pas un coup de la C.I.A. ni du F.S.B., mais comme beaucoup d'entres vous, j'ai été choqué par ce tragique évènement qui ébranle, une fois de plus, notre armée.
Depuis peu, les coups pleuvent sur la grande muette : opération complètement foirée en somalie, puis le livre blanc, et "BAM" l'incident de Carcassone...


D'abord un petit rappel :

Des soldats.
http://www.forces-speciales.org/images/unites-francaises/3e-rpima/3-RPIMa-parareco.jpg
Des munitions à blanc.
http://www.armeetpassion.com/TCA/ablancfeuillette.JPG
Des armes.
http://www.armeetpassion.com/TARM/famas.jpg
Des civils.
http://uppix.net/8/d/1/cd6d6c7d5c43957e4677a6d52e8b0tt.jpg
Des munitions réelles.
http://www.armeetpassion.com/TCA/cart2-556-sf-1-81-556.jpg

Résultats :  17 blessés dont deux militaires.

D'après la presse : un sergent, suite à un exercice de tir ou il faisait office en tant que munitionnaire pour son groupe (c'est à dire : responsable des munitions) a conservé un chargeur de munition réelle.

Quelques jours après cette exercice de tir, pendant une démonstration d'opération d'exfiltration,  au lieu d'approvisionner son famas avec un chargeur de balles à blanc, ce sergent a approvisionné le chargeur contenant des balles réelles...

Il y a beaucoup à dire sur cet indicent :

Revenons ensemble au début : c'est à dire la scéance de tir.
Notre sergent est munitionnaire, il a les responsabilités suivantes :
Son chef de section l'a informé, plusieurs jours avant l'exercice, que son groupe allait procéder à un entrainement "tir à balles réelles" au famas.
Un groupe est normalement composé d'environ 10 soldats (caporaux compris).
Donc, le munitionnaire (ici le sergent) a passé une commande de munitions pour ces 10 soldats.
Ces 10 soldats tirent... et ramassent à la fin les étuis (ce que communément, le civil appelle douille...)
Ces étuis sont à restituer à la soute à munition de la compagnie (1 balle = 1 étuis). On accepte quelques pertes, mais pas beaucoup (de mon temps, c'était un étuis perdu pour 100 balles, au dessus, il fallait faire une rapport, mais j'étais en Allemagne dans un bataillon assez rigoureux).
Faisons les comptes, si le sergent a bien fait son travail, il devrait avoir constaté qu'il avait perdu au moins 25 étuis... C'est à dire, si on fait les comptes, avec la règle du 1%;  que 2500 balles on été tiré pour le groupe. Ce qui nous permet d'appliquer le ratio 25/2500 = 1% d'étuis perdus...
Or cela veut dire que pendant cette entrainement au tir, nos marsouins ont défouraillé 2500 / 10 = 250 balles, c'est à dire 5 chargeurs. Ce qui est assez énorme pour un entrainement.
Mais possible.
Enfin cela représente surement un exercice de tir au jugé, tir au jeté voir d'entrainement à la lutte anti-aérienne (ou là ça défouraille en mode tir infini...)
Mais disons qu'il ne s'agit d'un banal tir de précision couché sur un pas de tir couvert.
Encore que...

Suite à cet exercice, nos soldats on fait leurs mesures de sécurité (y compris sous-off et officier) qui présente au directeur de tir que l'ensemble des munitions du chargeur ont été tirées.
En effet, sur le pas de tir, on doit réaliser les mesures de sécurité:
1 : on tir
2 : on a plus de munition
3 : on enlève le chargeur, on vérifie qu'il n'y reste plus de munition, on présente le chargeur face approvisionnement en visibilité du directeur de tir.
4 : on inspecte la chambre en gardant en tirant le levier d'armement du famas (on regarde, on passe un doigt dans la culasse prudement).. on enlève le doigt. On appuie sur la détente et on relache le levier d'armement, on appuie plusieurs fois et on met le sélecteur de tir sur sureté.. on se relève et c'est finie)

Conclusion :
1/ le directeur de tir n'a pas vu que le sergent n'avait que 4 chargeurs vides au lieu de 5
2/ Le sergent n'a pas présenté le chargeur vide, mais un autre chargeur... celui contenant les munitions, lui, est resté dans une des poches du sergent...

Ensuite les soldats ont ramassé les munitions et soit effectivement, nos soldats se sont vraiment bien amusés (dans ce cas, ils n'ont pas fait de compte rendu de perte de munitions) dans ce cas, soit ils ont fait un compte rendu (et dans ce cas, ou est ce compte rendu??)


Viens le jour J...
Nos soldats lancent leur démonstration.
Pour cela, ils vont utiliser des fumigènes, éventuellement, des grenades à plâtres, des famas et des balles à blanc.
Pour les fumigènes : impossible de se tromper (encore qu'il existe des fumigènes inertes... donc dans le pire des cas, on lance une grenade qui n'explose pas...)
Pour les grenades à plâtre :  c'est pareil, elles sont en plastique bleu, on ne les confonds pas avec des grenades offensives et encore moins des défensives (nettement plus dangereuses)...

Les balles à blancs, et les famas...
Comme vous le savez, le famas est un fusil d'assaut de la manufacture d'armes de st etienne (FAMAS...)
Donc, c'est une arme automatique.
Quand vous tirez une balle, la balle est projeté dans le canon et la culasse par en arrière. Un ressort, renvoie la culasse vers l'avant, ce qui conduit  à armer une balle du chargeur dans la chambre de tir.
Un sélecteur de tir, permet de positionner le tir du famas au coup par coup, ou bien au tir en rafale (ou bien sur sureté, c'est une petite languette que vous trouver devant la détente, et que vous cliquez soir à gauche, soit  à droite, soit au milieu, qui correspond à la dite sureté).
Un selecteur de rafale (sous la crosse) permet de définir le nombre de balle tirées pour le mode tir en rafale : soit trois par trois... soit continue (il faut dans ce cas lâcher la détente pour cesser le feu).
Et, comme c'est une démonstration... on a eu la présence d'esprit de mettre un BTB au bout de chaque famas...
C'est quoi un BTB?
hé bien, comme je viens de vous l'expliquer, une arme automatique fonctionne en récupérant une partie de l'énergie du tir pour actionner le mécanisme d'armement des munitions dans la chambre.
Comme les balles à blanc n'ont pas de projectiles, il n'y a pas assez d'énergie pour actionner l'ensemble mobile de la culasse.
D'où la nécessité de fixer un BTB (qui se visse au bout du canon du famas, et qui laisse juste un trés petit trou, trou qui ne laisse pas passer une balle)...
Ainsi, en bouchant un peu le canon, on peut tirer des rafales de balles à blanc.

Dans les films, c'est pareil, on a des canons spéciaux utilisés à cet effet.

Mais ici, ce n'est pas le cas, on a des armes de guerre, les canons sont affutés et ont des rayures spéciales pour augmenter la précision (on n'a pas de famas dédiés pour le tir à blanc)...


Bref, notre sergent à récupérer des chargeurs vides, les a approvisionné avec des munitions à blanc. Pendant l'exercice, il se trompe et prend un chargeur avec des munitions réelles, tir et c'est le drame.

Comme vous  pouvez le voir, les munitions à blanc sont différentes des munitions réelles. Elles sont moins lourdes aussi.
Disons que notre sergent, dans le feu de l'action, n'a pas senti qu'il avait une un chargeur plus lourd que d'habitude. Il n'a pas vu non plus les munitions du chargeur qu'il vient d'approvisionner dans son famas.
Ensuite, il tir...
La balle entre dans le canon.
le percuteur tape... l'explosion de la poudre contenue dans l'étui projette la balle dans le canon... et la balle atteint le bout du canon, ou normalement, le sergent a mis un BTB...
De deux choses l'une...
Soit le BTB a été arraché... et ensuite notre sergent continue allègrement de tirer ( et touche 17 personnes), donc dans ce cas, il est en mode tir en rafale (et tir en rafale en mode "illimité").
La première balle a normalement rencontré le BTB, et sauf s'il était mal fixé, on a le bout du canon du famas qui éclate avec le bouchon de tir à blanc....
Les autres balles sortent... normalement, le sergent vient de prendre une sacrée chataigne, et donc avec le recul, doit tirer plus haut (et surement pas de façon précise). Il vide son chargeur pour toucher 17 personnes (avec des personnes toucher sur plusieurs parties du corps)...vraiment pas de chance! surtout avec un canon qui vient d'éclater!

Ou bien, il y a autre chose.

Si on regarde bien, on a 17 personnes blessés et (dieu merci) aucun mort.
Certaines personnes ont plusieurs blessures (un enfant à une balle à la jambe, une au coeur et une au bras, et ce n'est pas le seul)...
Si on fait un ratio simple ; sur 25 balles tirés, aucune mortelle et plus d'une sur deux à toucher quelqu'un (certains ont été touché légèrement à la tête...)

évidement, on peut mettre en avant la possibilité que certaines balles ont rebondit sur les murs du stade ou l'exercice avait lieu... mais y a il une autre explication?

En fait, au vu des dégâts, cela ressemble plus à une explosion de grenade qu'un tir de rafale.

D'abord parce qu'il me parait impossible que le sergent n'ai pas perçu dés la première balle de l'éclatement du BTB et du canon. Il est fort probable que d'ailleurs qu'un tel incident endommage l'ensemble mobile et bloque l'armement du famas.
Ensuite, dans ce type d'exercice, les balles sont traditionnellement tirées au coup par coup. Voir trois par trois, mais jamais en rafale infinie...(la couverture de position nécessite d'offrir un feu soutenu assez longtemps pour permettre à un binôme de recharger et prendre le relais pendant la phase de replis).

Ce qui est sûr, c'est qu'on ne nous dit pas tout. Et qu'il me semble impossible qu'un sergent ai tiré 25 balles réelles sans s'en apercevoir alors qu'il venait de tirer des balles à blancs.

espérons que les civils et les militaires pourrons témoigner à la société et mettre toute la lumière sur cette affaire, car pour le moment, les explications fournies par la presse et les autorités sont fausses, sinon tronqués.

25

(218 réponses, dans La une)

Houlà, attention, à la différence de l'Irak, il faudra surtout décapiter la hiérarchie militaire russe et le fsb.
Une fois cela fait, nous pourrons joyeusement nous présenter en libérateur (avec un maketing efficace)....