En même temps, Reblochon, tu l'as provoqué...
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Le Vrai Asile » Messages de WtiA
En même temps, Reblochon, tu l'as provoqué...
Ouais, je l'ai entendu. Ça doit sûrement être une saloperie de fake commercial, mais en tout cas c'est vachement aigu.
À quand une visite interactive de la cave de Vak ?
Bouffe des mines de crayons à papier ça file de la fievre sans autres effets secondaires.
Véridique ?
Non mais dis le, que t'es un bot à phrases aléatoires ! Dis le !
EXPIIIE !
Ah.
Donc soit j'ai vraiment rien pané, soit cette question est sans intérêt.
Et bah, par exemple, tu peux couper le net le temps de lancer Steam.
Non sans avoir au préalable indiqué à Steam de mémoriser ton mot de passe.
Parce que même en essayant, ça fait tellement longtemps que j'ai pas utilisé ce logiciel que je sais plus comment procéder de façon différente.
Désolé.
Tu peux te mettre en statut non-connecté et jouer à certains des jeux, notamment les jeux solos, je crois.
Après, de là à ce que je me souvienne comment faire...
J'aime beaucoup la deuxième, la troisième et la huitième.
Chapeau bas.
Savinien Cyrano de Bergerac (l'auteur, pas le personnage) - L'Autre Monde.
Ah ça y est, tu l'as, ton badge handicapé.
Sinon, jolies photos.
Topy, arrête d'embuer nos écrans avec tes miasmes de pizza et ton haleine de chatte hongroise.
J'adore ton titre WtiA.
Et j'adore l'espèce de chèvre que tu as mis en avatar, mon ami.
Pouvons-nous baiser, maintenant ?
Cette année, un prof nous a demandés d'écrire une présentation de nous-même, sur maximum deux pages.
La mienne commençait par : "Né d'une relation incestueuse entre ma grand-mère et mon père, il m'arrive quelquefois de ne plus très bien savoir où j'en suis".
Madame Mordefrois (pas sûr de l'orthographe, mais je m'en souviens : c'était à Dijon, une vieille de 80 balais, un truc de ce genre)
Attendez, j'ai dit "Forcèment", là ?
Ça tient à ça, le bonheur dans la vie... Un petit message à 5 heures du matin, ça illumine mon petit coeur pour la journée.
Et Quatresous. C'est bien Quatresous.
Non ?
Même comme ça, tu me donnes faim.
[...]
Tu es mon soleil ;
j't'aim'rais toujours pareil ;
tu es mon soleil.
[...]
Bébé Charlie
Bah les dialogues, c'est du genre.
- J'ai vu Dumbelmachin faire ça.
- TU AS VU DUMBELMACHIN FAIRE ÇA ?!1
Du moins, c'est comme ça dans l'adaptation du premier tome, pendant tout le film. Certes, ça n'atteint pas de tels sommets poétiques, mais ça suffit à te donner envie de zapper sur TF1. Dur (ouais, ouais, CVB).
Sinon, j'ai vu un bout du "Justicier d'Acier, un film de série qui va au-delà du Z, et là tu peux voir des vrais morceaux de bravoure dans les dialogues. Notamment le moment où ils comparent la persévérance avec un soufflé au fromage. Forcèment.
Oh toi, tu n'as jamais vu Harry Potter.
28 days later, c'est avant tout les progrès des relations sociales à travers les âges expliqués aux enfants. Par exemple, on commence par s'engager à Greenpeace pour effractionner des laboratoires et libérer des chimpanzés, et puis on finit par se faire des bisous dans la campagne anglaise. Bon, bien sûr, tout cela ne s'effectue sans un minimum de bonne volonté, ou, que sais-je encore, un virus pas trop rigolo.
28 days later, c'est aussi mais surtout un virus très très contagieux, qui fait faire pas mal de trucs qui peuvent sembler ridicules comme ça, mais non en fait. Comme, entre autre, courir en gigotant les bras en tous sens, ou bien manger des rats. Un virus aussi, qui vous donne un regard de braise, ou bien de lendemain de fête avec abus de diverses substances illicites, je sais plus.
'Azy fais tourner !
Dans le rôle finalement assez important du héros, on a Jim. Jim se réveille après un mois de février dans une année non-bissextile passé dans le coma, nu et enfermé dans une chambre d'hôpital. Il cherche donc logiquement l'infirmière coquine responsable de ce bordel, mais il n'y en a pas, en fait, alors Jim part faire du tri sélectif dans Londres, et finit par réaliser en lisant les journaux - c'est beau, l'information - que la majeure partie de la population londonnienne a disparu. Il y a d'ailleurs de superbes plans de Londres déserte. Passons. Toujours est il que notre ami en pyjama finit par découvrir la Bonne Volonté en question, ainsi que deux amis pyromanes.
Sans vouloir imposer mon opinion, il me semble que quelque chose ici est différent.
Comme dans les Paniers de Yoplait, il y a de vrais gros morceaux de bravoure dans 28 days later. Je pense notamment à des suicides collectifs sur des mines anti-personnels, à des mutineries dans la ô combien majestueuse armée anglaise, avec des fusils d'assaut chargés pour de vrai, ou encore à un rasage de barbe de 28 jours sans eau, mais surtout, SURTOUT, à une partie de chat endiablée qui n'a rien à envier à celles de la bourgeoisie française, dans un superbe château britannique. Il y a aussi de la mortalité infantile-mutante, dans 28 days later. Ça me paraît assez essentiel de le souligner.
C'est aussi un vrai film d'homme, 28 days later, avec des scènes plutôt intimistes dans la campagne anglaise où l'on apprend qu'on a beau être entouré de vilains contaminés mangeurs d'hommes, on peut quand même pique-niquer en se fendant la gueule et s'adonner aux joies du voyeurisme zoophile sur des chevaux. Moi en tout cas ça m'a donné envie.
Attention, ce n'est pas le genre de cheval dont je veux parler
28 days later, c'est aussi un film qui remet toutes nos valeurs fondamentales en question. J'invite ainsi tous les généreux donateurs à la SPA à visionner ce film, afin de leur permettre d'investir leur argent dans quelque chose de moins dangeureux comme, euh, une machette, ou autre combinaison de CRS. On ouvre également les yeux à propos des braves soldats anglais, et de leur vie sexuelle éparpillée. La savonette, tout ça, pfiou ! Envolé. Merci Danny Boyle.
EDIT = Ah, j'ai failli oublier de vous préciser le titre du film : c'est 28 days later.
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