"Onizuvak* est un brave paysan hongrois: un type bien qui paie ses impôts et élève une fille qui deviendra la pute du village.
Un beau matin, Onizuvak entre dans l'étable afin de nourrir ses bêtes: Telle ne fut pas sa surprise quand il vit cette croupe, si puissante , si attirante , aux courbes si parfaites et si délicieuses, une ode à l'amour dans le nusse. Il n'en avait pas vue de pareille depuis qu'il avait fait un gosse a la petite voisine. Il sentit alors son coeur battre dans sa poitrine, une chaleur intense l'envahir des pieds à la tête. Son sang ne fit qu'un tour qu'il était dejà à poil , la bite fièrement tendue en étendart de sa virilité. Il posa alors une main sur cette croupe, puis deux, puis il se sentit décoller.
Onizuvak se sentit léger, il ferma les yeux.
Il se réveille : la voisine qu'il a toujours rêvé d'enculer le regarde. Il a froid. Son pantalon est toujours baissé. C'est alors qu'il réalise que le cheval qu'il a essayé de sodomiser lui a décoché un violent coup de sabots au niveau des genoux, qui se brisèrent sous l'impact.
* nom d'emprunt
Note : toute ressemblance d'un nom cité avec celui d'un membre du true asile est purement fortuite. Tout les éléments du texte sont rapportés tels quels, sauf ceux qui auraient été modifiés ou rajoutés."
Toi aussi transforme les petits faits divers en chefs-d'oeuvres littéraires sur lesquels se masturberont les générations futures de putes hongroises.