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En auvergnat, maticha veut dire "tomate"

sinon
pablo prend pas un seul rail de coke de toute la saison.

Yvelines : phobique des vélos, il agressait les cyclistes

C’est un agresseur au profil un peu particulier qu’ont arrêté les policiers mercredi matin, à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). L’homme âgé de 35 ans détestait les vélos et a agressé à au moins trois reprises des cyclistes dans le département. « Je n'aime pas les cyclistes. Déjà, petit, je n'aimais pas les cyclistes », a-t-il déclaré lors sa garde à vue.

En novembre dernier, le trentenaire avait attaqué un vélo à coups de barre de fer, forçant le propriétaire à prendre la fuite. Le mois dernier, il avait récidivé en arrêtant brusquement sa voiture au milieu de la route et en mettant un coup de poing au cycliste qu’il venait de croiser. Il a finalement pu être arrêté grâce à son numéro de plaque minéralogique, relevé par une des ses victimes.

"Netflix renews Narcos for second season"

Le cambrioleur trahi par son caleçon

Couchsurfing pervers à Marseille : tartine au Lexomil et caméra dans la douche

L'affaire qui lui a valu de comparaître mardi avait débuté en juillet 2012 avec la plainte d'une jeune touriste berlinoise à laquelle du Lexomil avait été administré sur une tartine de pain beurré. De l'acide avait été ajouté dans son propre gel douche et dans sa culotte, "afin qu'elle reprenne sa douche et qu'elle se frotte intensément au niveau du sexe pendant que je la regardais", avait reconnu l'ingénieur au cours de l'enquête.

Polémique : la PETA compare les handicapés mentaux et les animaux

« Chaque animal devrait avoir des droits indépendamment de l'intérêt que cet animal peut présenter pour les humains, qu'il soit mignon ou pas, que son espèce soit menacée de disparition ou pas, qu'un humain y soit attaché ou pas (de la même façon, un handicapé mental a des droits, même s'il n'est pas mignon ou si personne ne l'aime) ».

Le community manager du blog Wheelcome, estomaqué, a demandé sur Twitter à la PETA si ils avaient « pété un câble » pour oser faire cette comparaison.

La PETA a fini par s’excuser et a regretté une « formulation maladroite ». « Ce que nous voulions dire, c'est qu'il ne faut pas faire de différence entre les animaux, comme nous le faisons entre être humains », a expliqué leur porte-parole.