Kuro a écrit:L'article plus-mauvais-tu-meurs. Il affirme balancer la connerie des gens qui n'aiment pas le foot alors qu'il choisit de décrire ceux qui n'aiment pas ou ne soutiennent l'équipe de France, où qui conchient 'l'institution footbalistique" pour ce qu'elle est devenue. Il ne parle absolument pas des personnes qui n'aiment pas le sport football. Comme quoi il pourrait encore apprendre de ce grand con de Elkabbach.
Il oublie de mentionner l'intelligence fantoche de tous ceux qui se croient obligés de soutenir le foot, et de te le faire soutenir, parce que c'est le sport national. Ceux qui montrent sans honte aucune un mépris sincère à la simple mention de ton indifférence vis-à-vis du résultat du Mondial : "comment tu ne regardes pas !? Mais c'est l'équipe de France !" Ou ceux, encore, qui joyeux ou ivres, te demandent de te réjouir avec eux, pour quelquechose dont tu n'as rien à foutre, et qui beuglent la nuit pour réveiller la terre entière.
La connerie c'est pas le football, ni ceux qui n'aiment pas. La connerie du foot, c'est le morceau de gras qui pendouille au bout de la canette.
Ben mon cochon, on peut dire que tu as pris le temps de lire le texte. C'est de la connerie, certes, mais elle a le mérite d'être amusante.
Donc je cite:
"En revanche, il y a une hypothèse qui tend à s'imposer, de plus en plus, à chaque grand événement sportif: le foot rend surtout con ceux qui ne l'aiment pas. On entend par là, d'abord ceux qui ne l'aiment pas spécialement, ensuite ceux qui ne l'aiment vraiment pas."
"Chez ces derniers, on va avoir droit, inévitablement, à l'habituel déferlement de clichés éculés, au mieux à une pseudo-critique idéologique de comptoir revenant à dire que, mon brave monsieur, le foot c'est vraiment l'opium du peuple – alors qu'en réalité, le foot est à la religion ce que le lexomil est à l'héroïne pure (1).
Mais les plus pénibles appartiennent sans conteste à la première catégorie, ne serait-ce que parce qu'ils sont infiniment plus nombreux et constituent une gamme d'emmerdeurs remarquablement nombreuse.
"
En fait je ne cite pas et n'en parle pas plus parce que je me rend compte que tu as encore moins lu le texte que je ne le pensais.
Sinon, pour ton histoire de bout de gras et de supporter lourds, certes, mais je ne vois pas le rapport.
A ben si il y en a un, vous parlez a peu près des mêmes personnes.