876

(6 726 réponses, dans La déconne)

mais coeur avec les doigts quand même !

877

(6 726 réponses, dans La déconne)

MErci pour ce moment.

878

(6 726 réponses, dans La déconne)

Pardon les gars j'ai été coupé !

879

(6 726 réponses, dans La déconne)

J'ai encore paumé l'adresse

880

(6 726 réponses, dans La déconne)

ah non pas maintenant, plus tard

881

(6 726 réponses, dans La déconne)

Tu ne m'auras pas flagorneur ! Nous sommes dimanche mais certains sont manifestement encore en vacances !

882

(6 726 réponses, dans La déconne)

y'aura quelqu'un?

883

(3 224 réponses, dans La déconne)

Pardon, j'avais peur que Bak me tombe dessus pour m'expliquer de Goldanel était un tocard.

Beonelo, je le ferai plus, ou alors je mettrai une balise pour te laisser la joie de trouver par toi-même la pointe d'humour et d'ironie glaçée et sophistiquée qui irradie de chacun de mes posts.

884

(3 224 réponses, dans La déconne)

Je l'ai dans un dossier : un mange merde d'avocat remarquable ! (attention de l'ironie se cache dans cette phrase)

bien tenté Maurice !

886

(2 552 réponses, dans LA FIN DU MONDE)

n'oubliez pas de vous laver les mains avant de remettre

887

(3 679 réponses, dans Jeux)

Je suis en train d'y jouer

888

(2 552 réponses, dans LA FIN DU MONDE)

Parc Monceau, des tapins?

889

(2 552 réponses, dans LA FIN DU MONDE)

Beonelo a écrit:
reblochon a écrit:

Mais on se fait tant chier à Paris pour aller s'entasser au bord d'un cours d'eau pollué et qui pue ? Y a rien de plus sympa à faire ?

Si on peut draguer les michtos du parc Monceau


C'est quoi les michtos?

890

(1 514 réponses, dans Le coin du spoiler)

hohun a écrit:
BaKouneT a écrit:

Messiah

Un homme conduit des réfugiés Syriens jusqu'en Israel.
Il est arrêté, s'enfuit et réalise quelques actions étranges. Sa popularité devient un problème géopolitique et la série se consacre donc à déterminer si c'est vraiment le messie et des miracles ou un agitateur aux mains de radicaux et des facéties bien réalisées.

Il y a pas mal de longueur, des rebondissements téléphonés (cf les deux gamins palestiniens), c'est en anglais mais avec pas mal de passage en hébreux et en auvergnat mais au final j'ai bien aimé.
La grosse qualité de la série c'est que les personnages ne sont pas (tous) manichéens.

3.5 miracles/5

Pareil, sympa mais on n'en saura jamais plus vu qu'ils ont annulé la série.

3,5 annulations sauvages à la Netflix sur 5.

Et ca permet de retrouver Tomer Sisley avec un texte original.

891

(7 006 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

J'y connais rien, mais j'avoue que je trouve l'argument de Bidule convaincant.

Elle est habitée :

https://twitter.com/Nikaa_Dww/status/12 … 40/video/1

893

(32 305 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

https://imgaz1.staticbg.com/thumb/view/oaupload/ser1/banggood/images/EA/19/cafa70ae-19a5-4092-a28d-301e6a2d9516.jpg

894

(16 635 réponses, dans Culture & médias)

Elle oublie de préciser que le mec qu'EDM défendait ce jour là a été acquitté ce qui donne toute la mesure de son brillant témoignage devant la Cour d'Assise pour lequel tout le monde est venu la féliciter.

Et le fameux article méchant du Figaro :

895

(6 120 réponses, dans Culture & médias)

Ce clip manque de la grosse bite à Iggy.

Voilà pour équilibrer, y'en a marre du politiquement correct :

https://www.youtube.com/watch?v=2OqP1fX … ;index=134

NiarkNiark a écrit:

C'est même beaucoup moins con que la bio-dynamie.

M. Porcin a écrit:

Tu plaisantes, avec tout ce travail aux champs je pourrais poser dans le calendrier paysan avec niark

Des putain de dieux grecs.

Grecs?

https://media.nouvelobs.com/ext/uri/sreferentiel.nouvelobs.com/file/rue89/726c6bf76d8c462cde932c4afaa4c21e.jpg

897

(3 224 réponses, dans La déconne)

Je dis bravo ! Tu m'as donné envie de ne jamais aller à Etampes.

898

(2 232 réponses, dans Culture & médias)

Sans blague Sherlock?

899

(2 232 réponses, dans Culture & médias)

Le code noir voté par la CFDT d'après un spécialiste, et dont Porcin pourrait s'inspirer pour trouver une sanction alternative au sac en toile de jute :

Colbert et le «Code noir»: la vérité historique

TRIBUNE - La volonté d’effacer la figure de Colbert le confirme: juger le passé à l’aune de la morale d’aujourd’hui, c’est s’interdire de le comprendre et se donner bonne conscience à peu de frais, explique l’historien et écrivain Jean-Christian Petitfils*.
Par Jean-Christian Petitfils
Publié le 29 juin 2020 à 20:35, mis à jour le 29 juin 2020 à 20:35
Jean-Christian Petitfils.
Jean-Christian Petitfils. Clairefond
Abonnez-vous à la lettre des journalistes

Dans le vandalisme frénétique qui a saisi la France depuis la mort de George Floyd, des associations antiracistes et des groupuscules mènent une campagne passionnelle et outrancière destinée à abattre les statues, à débaptiser lycées, places et rues portant le nom de grands hommes de notre histoire, soupçonnés d’esclavagisme ou de colonialisme. Est visé en particulier le ministre de Louis XIV, Jean-Baptiste Colbert, pour avoir été l’auteur du Code noir.
À lire aussi : Vandalisme sur la statue de Colbert: «La logique de la table rase est à l’œuvre»

Dans ce délire idéologique qui sature l’espace public, où le souci de la vérité historique ne pèse pour rien, on ne sait trop ceux qui sont le plus à blâmer, les «indigénistes», qui ne rêvent que de déconstruire l’histoire de notre pays, ou les hommes politiques - dont hélas un ancien premier ministre - et les édiles tétanisés qui mettent genou à terre et se prêtent complaisamment aux injonctions terroristes des discours anti-Blancs.

Bourreau de travail, brutal, hautain, froid («Le Nord», comme le surnommait Mme de Sévigné), Colbert fut un des géants du Grand Siècle. Derrière son abord rebutant se cachaient une belle intelligence, une ardeur, une ambition peu commune, doublée d’une passion extrême d’agir et de servir. Il cumula des fonctions qui correspondraient aujourd’hui à celles de ministre de l’Intérieur, de l’Économie, des Finances, de la Marine, de la Justice, du Commerce, de la Construction et de la Culture. Son œuvre au service du roi et de la centralisation de l’État est immense, même si des ombres ont entaché son action.
Colbert lança sur place des consultations préalables, car la pratique de l’esclavage était interdite en France métropolitaine et n’existait pas dans d’autres colonies comme le Canada

L’élaboration de l’édit royal de mars 1685 «touchant la police des îles de l’Amérique française», appelé ultérieurement Code noir, prend place dans sa politique d’unification du droit et de codification législative: ordonnances sur la procédure civile (1667), les eaux et forêts (1669), la procédure criminelle (1670), le commerce (1673) et la marine (1681). Il s’agissait en l’occurrence de clarifier le statut civil et pénal des esclaves d’outre-mer «tant pour la punition de leurs crimes que pour tout ce qui concerne la justice qui doit leur être rendue».

À l’image des autres entreprises, Colbert lança sur place des consultations préalables, car la pratique de l’esclavage était interdite en France métropolitaine et n’existait pas dans d’autres colonies comme le Canada. C’est ainsi qu’en avril 1681, il demanda à Charles de Courbon, gouverneur général des îles d’Amérique, et à l’intendant Jean-Baptiste Patoulet, de collationner la jurisprudence locale et de recueillir les avis des membres des Conseils souverains - petits parlements locaux - de la Martinique, de la Guadeloupe et de Saint-Christophe. Ce travail prit du temps, car il s’agissait de rationaliser des pratiques et usages répandus depuis plusieurs décennies.

Suivirent un premier rapport en mai 1682, puis un avant-projet d’ordonnance en février 1683, qui arriva sur le bureau du ministre trois mois plus tard. On ignore la part que ce dernier prit dans la rédaction du texte final qui comporte 60 articles. Malade, il mourut le 6 septembre 1683. Laissée en souffrance, l’ordonnance royale, qui reprenait 90 % de l’avant-projet, ne fut donc promulguée qu’en 1685, sous la signature de Louis XIV et le contreseing du fils du ministre, Jean-Baptiste Colbert de Seignelay, secrétaire d’État à la Marine.
Implacables étaient les sanctions pénales : les coupables étaient marqués au fer rouge, mutilés aux oreilles ou aux jarrets et dans les cas les plus graves exécutés

Lourd de contradictions, le texte faisait la part belle aux planteurs, tout en introduisant un cadre légal. Si les esclaves étaient assimilés juridiquement à des biens meubles dans les transactions, ils étaient néanmoins considérés comme des êtres humains aux droits limités. Ils devaient être nourris convenablement, vêtus, baptisés, instruits dans la religion catholique, et bénéficier du repos du dimanche. Ils pouvaient se marier avec l’accord de leur maître, mais les enfants nés de ces unions devenaient esclaves à leur tour. Les sujets âgés ou malades devaient être pris en charge et les morts enterrés dans des cimetières catholiques. Les affranchissements, les mariages mixtes maître-esclave étaient possibles mais encadrés.

Le Code autorisait les maîtres à avoir recours au fouet, prohibant toutefois les «traitements barbares et inhumains». Aucune mutilation ou torture ne leur était permise. Celle-ci était réservée aux décisions de justice. Implacables alors étaient les sanctions pénales: les coupables étaient marqués au fer rouge, mutilés aux oreilles ou aux jarrets et dans les cas les plus graves exécutés. Tout maître ou contremaître qui tuait un esclave se rendait en revanche coupable d’un crime. Sous réserve de quelques variantes, ces dispositions furent étendues à Saint-Domingue, aux îles de France (Maurice) et de Bourbon (La Réunion), à la Guyane et à la Louisiane.

Si Colbert n’a pas contresigné le Code noir, on peut penser qu’il en aurait approuvé les termes. La vérité est qu’il fut seulement l’héritier de la politique coloniale de la monarchie absolue, commencée sous le ministériat du cardinal de Richelieu en 1626 avec la création de la Compagnie de Saint-Christophe.
Les monarques et chefs de nombreux royaumes africains vivaient de la traite des noirs (souvent occultée, leur complicité est « une donnée objective », souligne l’historien et anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye)

L’installation d’esclaves dans les Antilles commença en 1635 en dehors de tout statut juridique, principalement en vue de la culture de la canne à sucre. À l’époque, une bonne partie du monde acceptait sans état d’âme l’esclavage. Les monarques et chefs de nombreux royaumes africains vivaient de la traite des noirs (souvent occultée, leur complicité est «une donnée objective», souligne l’historien et anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye), et l’Europe rachetait les esclaves chrétiens aux Barbaresques d’Afrique du Nord, qui en faisaient un trafic lucratif.

Bien entendu, philosophiquement, le Code noir est injustifiable en ce qu’il légitimait et légalisait un système d’esclavage, enrobé de quelques principes d’humanité et de christianisme. Aucune définition, aucune justification n’étaient d’ailleurs données de cette institution barbare, qu’il faut replacer dans son contexte historique.

* Auteur d’une trentaine d’ouvrages, Jean-Christian Petitfils a notamment publié une biographie de Louis XIV (Perrin, coll. «Tempus», 2002), grand prix de la biographie de l’Académie française et Histoire de la France. Le vrai roman national (Fayard, coll. Pluriel, 2018).

Oui, mais tu auras noté sur ton lien que d'autres choix étaient proposés, et nul doute que Kefka saura suivre les judicieux conseils de Binouze.