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Moi je vous abandonne parce que tournoi des six nations ce soir : Galles / France.

Je vous aime bien, mais mater des gros musclés sous la douche je préfère

Quelle heure votre gang bang?

Non les infirmières c'est Cecilia, mais honte soit sur son nom pour 14 générations

ouais, ca recentre le débat !

ahhhh enfin la réflexion populo-démago-débile de la journée !!!

Cette nouvelle de début d'année réchauffe mon coeur de contribuable non-encore concerné par le bouclier fiscal. Finie la gabegie espèce de social traitre !

Je suis toujours fétu? fais chier!

et merci du titre, bordel : plutôt que membre, si tu connaissais mon anatomie, tu m'appellerais la buche.

ohhhhhh le pére Noël est passé !!!

Réveillez-vous les enfants, les cadeaux sont sous le sapin !

Tu préfères l'idée que ce soit un restaurant pour les flics ?

Bon, juste pour faire simple les petits gars, les dirigeants d'EADS ainsi que les actionnaires de référence étaient poursuivis pour manquement d'initié autour de trois informations dites privilégiées. Deux étaient absolument improbables, et les poursuites ne reposaient que sur une interprétation complètement erronée (et sans doute aveuglée par l'opprobre de l'opinion publique) : un hiatus entre un plan d'affaire interne et les attentes du marché ; un projet d'avion (l'A350) dont le business plan aurait montré qu'il était destiné à perdre de l'argent.

Demeurait une information, bien plus compréhensible par le vulgum pecus : les retards de l'A380. En gros, il est reproché à ces nantis d'avoir su, avant le marché que l'avion ne serait pas livré à temps, et d'avoir vendus leurs stocks anticipant ainsi la baisse que l'information allait provoquer.

L'AMF a remis les choses en perspective en disant qu'au mois de mars 2006 (date à laquelle les cessions litigieuses sont intervenues) les retards de l'A380 ne pouvaient être considérés comme une information privilégiée car d'une part de tels retards étaient rattrapables, d'autre part qu'ils étaient courants dans ce type de projet industriel, enfin que des dispositions pour les corriger avaient été prises.

Ces retards de livraison sont devenus incontournables en juin 2006, et la société en a immédiatement averti le marché. Le titre n'a chuté comme un A330 faisant Rio-Paris qu'à partir de cette date.

Il n'y a donc pas eu, en mars 2006, d'exploitation d'informations privilégiées, et donc pas de manquements d'initiés.