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il vas y avoir un max de déchet.

En 1860 était accordée la concession de 1' "Entreprise des phares de l'Empire Qfttooan" qui aliait installer, entre autres, dix-huit pharea sur les 440 milles de cotes syro-palestiniennes.

La question se posait de la création d’un port moderne sur la côte de Syrie. Le choix pouvait se porter sur Tripoli ou sur Beyrouth. La situation géographique militait en faveur de Tripoli, dont la facilité de communication avec 1* intérieur par la trouée de Homs était plus grande. Les considérations militant en faveur de Beyrouth étaient les suivantes : la situation de capitale administrative et de siège du vali, son rôle de centre d' l'influence et des missions françaises, et l'existence de la route carossable % Beyrouth-Damas. cea raisons emportèrent la uécision en faveur de Beyrouh. En 1888, un groupe d'actionnaires français de la route fonda, avec l'aide de capitaux fournis par la Banque Ottomane, la Banque de Paris et des pays-Bas, le comptoir National d'Escompte et la compagnie des messageires maritimes la "compagnie ottomane du port, des Quais et Entrepôts de Beyrouth" afin d'exploiter une conoession accordée l'année précédente, la construction commencée en 1890 était achevée en 1895. Le port de Beyrouthi comprenait une jetée du large longue de 800 mètres et une traverse de 350 mètres. Des quais d*une/longueur de 1.000 mètres bordaient un bassin de 20 hectares dont 13 ayant une profondeur de 8 mètres. En ; 1910, dernière année normale avant les guerres de Tripolit8ine et des Balkans, le mouvement du port de Beyrouth avait comporté 114 vapeurs et 2.294 voiliers représentant 1.732.854 tonnes de jauge.