T'as de bonnes adresses d'ailleurs?
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Le Vrai Asile » Messages de Eldrock
T'as de bonnes adresses d'ailleurs?
On s'en tamponne le coquillard que tu t'en branles de son bracelet de pédale.
Excellent, le grab est vraiment un bonne idée et les animations sympas.
Ça donne bien envie tout ça. Par contre ça à l'air de n'être que du local.
J'avais lancé la bêta vite fait, le moteir et les contrôles étaient immondes à l'époque.
J'ai pas retesté, mais c'était bien horrible à l'époque, dommage d'ailleurs car le principe semblait cool. Ça à l'air un peu plus dynamique sur les vidéos,, mais à ce prix là (23€) faut être très motivé.
[video]http://www.youtube.com/watch?v=UcYQ313xYpo[/video]
[video]http://www.youtube.com/watch?v=MoEBWd-C-MY[/video]
Va dire ça en PACA.
[video]https://www.youtube.com/watch?v=AsXXChZzfXU[/video]
Il y a quelques bonnes fulgurances, sans plus et c'est pas vraiment dans le thème, mais je savais pas vraiment où le foutre :
http://radiokawa.com/ta-gueule
L'homme de tous les dangers.
[video]https://www.youtube.com/watch?v=B25cSThOrq0#t=98[/video]
5% donc.
En fait tu voudrais savoir jusqu'à quelle pression exercée sur le bord de la table, celle-ci ne basculera pas.
Voilà le calcul avec un modèle :
Peut-être déjà passée si on se réfère à la date, mais je la poste au cas où que non.
[video]https://www.youtube.com/watch?v=VDI1269lWPM[/video]
o/
Et chiffré tant qu'à faire.
Ou alors, pour que le plan plaise aux journaleux, le gars s'est mis de l'autre côté du bureau et a basculé l'ordinateur.
Sauf si on le vois taper dans le reportage...
Bonne idée ça : te déplacer.
/summon Kayson
M'en branle, j'ai ma M60 maintenant.
Clair. Trop vite, trop fort?
Désolé, diarrhée.
"Tout est lié."
Harry Houdini
Bon, au final j'aime les nomades.
En l'an de grâce 65 a.i. (après installation), la colonie se porte bien, grâce à une croissance sciemment modérée. Environ 750 âmes la peuple, et ne rencontrent que de rares petits problèmes liés essentiellement à l'aspect erratique et ponctuel des "catastrophes". Elle s'est étendu sur une bonne partie de la carte, principalement vers l'est et de manière équatoriale, et tire avantage d'une grande diversité dans ses sources d'approvisionnements. Les productions alimentaires, textiles, minières et les flux ne sont pas parfait mais permettent une certaine latitude. Notamment d'un point de vu alimentaire (70K).
Enfin, je le croyais.
J'entendis une rumeur qui soulignait les avantages d'une production intensive de moutons pour faciliter les échanges passant par le port. Je décide donc de mettre de la laine dans les rouages bien huilés de ma colonie. Je convertis quelques patûrages (et split mes deux troupeaux), en rachète quelques-uns que je place dans de nouveaux enclos. Et la vie continue, tranquillement.
Je remarque après trois-quatre hivers que j'ai un peu de mal à reconstituer mes stocks alimentaires. J'entreprends alors d'augmenter mes surfaces en attendant que les troupeaux croissent. Je viens de mettre ma bite dans le ventilateur, et je n'en ai pas conscience. Je lance les travaux assez aisément, j'ai du rab en laborers et j'allège modestement quelques secteurs de production, hors alimentaire et logistique. Évidemment. Je bâti en demandant un effort à mes stocks, j'assigne les postes avec de moins en moins de laborers disponibles. Tout cela prend du temps, et trop occupé à rattraper ma boulette, je ne construit plus de maisons.
Les stocks de nourritures connaissent une croissance négative de moins en moins importante, je redresse la barre, mais je sens que ça va néanmoins être limite. Effectivement ça ne manque pas, une petite épidémie de faim a lieu et je perds une petite trentaine de couillons (donc au moins 1/3 d'enfants)... par hiver. Ma récupération in extremis de ma production alimentaire empêche une famine généralisée. Et pourtant, la tendance ne s'inverse pas. Je perds des travailleurs et toute mon économie en pâtit. En tentant de préserver les apports nutritionnels journaliers j'ai un peu négligé le reste. Nonobstant, le système tient, sur le fil du rasoir.
Je mets finalement fin à la faim, en manquant de tout foutre en l'air au moment où je vois que mes bannis commencent à manquer d'outils. Mais ça passe. Nous sommes en 77 a.i. et 600 habitants pansent doucement les blessures d'un patelin fragilisé, se disant que le pire est derrière. Que pouic! C'est l'inverse qui se produit, le pire est pas devant : on en a jusqu'au narine et ça sent le sapin.
Les vieux crèvent et comme certains fonctionnaires, ne sont pas remplacés. La gestion de crise m'avait obligé à mettre le holà sur le bâtiment de type habitation et beaucoup d'enfant sont morts des suites de décès. Et c'est là qu'on se rend compte que le plein emploi est une erreur monumentale. Personne pour construire des baraques et de moins en moins de travailleurs dans tous les secteurs suites à la cascades d'abandon de la vie par les croulants.
Il n'y a pas d'ennemis dans ce jeu, je croyais avoir galérer précédemment, mais la je dois livrer une bataille ou plutôt une guerre contre l'anéantissement et le chaos. Je sais que ça ne va pas être facile, que je manquerai d'échouer plus d'une fois mais le défi est là et je refuse de ne pas l'affronter. Alors je lance une campagne de construction, limité dans son ampleur par la faible profondeur des stocks et même souvent en flux tendu. Mais une population ne se renouvelle pas comme ça, en un an ou deux, et il faut que les mômes grandissent et s'éduquent (je n'envisage pas de priver une génération entière d'instruction). Alors je jongle avec les professions et le peu de péons disponibles. Quant une alerte m'indique m'indique que des saltimbanques veulent s'implanter. Je me vois obligé de repousser la pensée isolationniste qui m'habite dur depuis le début. J’acquiesce donc et accueille plutôt chaleureusement les pouilleux en les mettant tout de suite au travail (et leur piètre engeance à l'école). Car il n'y a pas de temps à perdre, les cimetières sont pleins et il faut en bâtir de nouveaux pour recevoir d'impatients locataires. Ils sont moins de 350 à se démener corps et âmes pour survivre.
La même bouffée d'air frais se répète quelques saisons plus tard. Les décès s'espacent de plus en plus, les troupeaux de moutons sont enfin complets, les postes disponibles se regarnissent, et ce sont prêt de 200 enfants (100/100) qui vont assurer la relève.
Nous sommes en 91 a.i. et moins de 500 habitants savent désormais que l'aventure peut continuer.
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