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Le maxilol des drivers Razer, c'est que ceux de la souris ne sont pas compatibles avec ceux de leurs claviers
J'ai tout en Razer, je trouve le matos pas mal, mais logiciellement c'est la catastrophe.

Nom de Dieu... cette interview est parfaite... peut-être supérieure à sa correspondance avec Houellebecq... un véritable sojanectar... je jouis...

Plus je découvre ses toiles et plus je me dis qu'il devait être atteint d'ergotisme chronique.

Non, c'est une maladie professionnelle, une flûtite... au bout d'un moment ton poignet reste bloqué, même quand il n'y a plus de flûte de champagne dedans...

Ouais, là-dessus tu serais chic d'éditer ton message.

C'est le CR IDF qui paie, donc Cyp il s'en fout en fait. Idem, ce n'est pas lui qui paie ton RSA, la CMU, je n'en sais rien en revanche.

Avec un feat d'Ulcan à 3:40 !

C'est 200 € par gosse, donc pour avoir 1 000 € il faut partir à 7 et te retrouver dans un 15 m2 en Corse, ça va plutôt être Mamadou Ingalls.

Je sais que ce beau texte intéressera quelques uns d'entre vous, d'autant que son sujet rarement abordé en France, celui de l'irruption du nazisme dans les milieux intellectuels allemands et viennois, l'est sous la plume d'un grand polémiste (dans la veine de Bernanos), et d'un des plus grands écrivains germaniques des années 30.
Kraus, qui publiait jusqu'ici un journal dont il était le principal rédacteur, Die Fackel, répond à ses lecteurs qui s'étonnent de son silence relatif à l'arrivée des nazis au pouvoir. S'ensuit un texte apocalyptique, mais souvent drôle, sur le naufrage dans la barbarie de la culture allemande *, la destruction de la langue, la prostitution journalistique (toutefois dénoncée par Kraus depuis des décennies), les capes virevoltantes des intellectuels qui exaltent le nouveau régime et l'esprit völkisch, les reniements pour obtenir des postes prestigieux, à l'instar de Heidegger qui devient subtilement moins métaphysique quand il déclare : « Ce ne sont pas des "thèses" et des "idées" qui doivent être les règles de votre être. Le Führer, lui-même et lui seul, est la réalité allemande, présente et future, et sa loi. »**
Après une série de lectures un peu pénibles, je suis estomaqué par ce livre au grand style (on navigue dans chaque page entre Goethe et Shakespeare), et qui n'a été que récemment en France où l'auteur était jusqu'au début des années 2000 assez confidentiel.

* Il y a un passage énorme sur la condamnation du kitsch populaire par les élites nationalistes, l'idiot Goebbels en tête, et sa mise en parallèle avec des dizaines d'exemples qui montrent que l'unique rapport du nazisme à l'art est justement le kitsch.
** Pour le coup il avait entendu le message de Reblochon sur la philosophie !

Gros festival dans la vidéo de Beo :

Bon, alors moi je rêve de faire du kayak de mer à Svalbard, que me conseilles-tu comme alternative Corse ?