251

(3 821 réponses, dans Jeux)

hohun a écrit:

Perso je n'ai jamais caché mes goûts grand public. Je suis comme un LeChat sans cotte de mailles en fait.

Moi je tente d'être moins cassant. Parce que c'est bien cool de dire que COD, Les Experts, Werber, Le Monopoly, les bds "les blondes" c'est de la daube mais quand tu dis ca à part braquer la personne en face de toi qui ne connait que ça et qui aime ...tu ne fais rien.
Vu qu'en ce moment on est en collocation avec le beau-frère et sa copine, la vie culturelle "grand-public" je vois ce que c'est.
C'est BFM le matin en bouffant un croissant avec ses news en rafales qui durent 30 secondes, c'est CSI le soir en rentrant du boulot et c'est du bêtisier en boucle des chaînes de la TNT le Week-end. Une fois que tu poses ce constat (véridique), tu as deux possibilités. Soit tu lui fais comprendre que c'est un putain de beauf modèle Iso9001 comme y'en a trouze milliards en France, soit tu tentes de sauver ce que tu peux.
Et tenter de sauver c'est putain de plus dur que de se foutre de sa gueule. Genre hier j'ai appris qu'il ne connaissait pas les films de Carpenter et que les films de zombies ce sont les 3 Resident Evil.
Je suis en train de choper The Thing, l'Antre de la Folie et 28 jours plus tard...histoire qu'il mate un peu autre chose.

D'ailleurs en parlant ça m'a fait halluciner mais Carpenter ça ne passe apparemment jamais sur la téloche française. En Allemagne je les ai tous maté sur les chaines hertziennes quand j'étais gamin...Vous validez?

252

(3 821 réponses, dans Jeux)

Tout dépend de ce que tu recherches dans le média JV (tout comme n'importe quel média). Si tu veux du divertissement bête et méchant, COD est parfait. Ce sont des montagnes russes parfaitement huilées, pratiquement identiques d'années en années mais avec ce qu'il faut de changement pour ne pas s'ennuyer.
Un peu comme les divers films à suite (de James Bond à Saw en passant par Fast and Furious), les livres (je vais pas lister toutes les licenses d'Harlequin à Warhammer), les séries ou même les jeux de société (avec des Risks et Monopoly différents chaque années).
Après si tu veux prendre des "risques" c'est sur que ce n'est pas un COD qui te l'offrira. Perso j'ai juste fait le 4 qui était le "meilleur". Vu la purge que c'était à mes yeux, j'ai jamais tenté un autre COD, même en Warez.

On peut le vomir (et je le fais) pour ce que ca représente mais le produit en lui-même n'est pas mauvais. C'est juste que cela ne nous parle pas, tout comme la série Profilage sur TF1 ou les divers livres de Levy.
Le truc c'est réussir à faire passer les fans de ces produits à des oeuvres plus "fines". Et ca c'est coton vu qu'on est des animaux marchant à l'habitude et au ronron quotidien.

253

(11 713 réponses, dans La déconne)

Bestaflex a écrit:
M. Porcin a écrit:

«j'ai été quatre ans ministre de l'intérieur, cinq ans président de la République, tous les matiins je me disais, attention, la France est un pays éruptif, soyons républicains.»  

Cette citation a sa place dans le top 10

whoah ! juste whoah !!

Ce qui est tristoune c'est que l'homme politique moyen a réellement peur de la rue quand il s'agit de faire des changements mais s'en branle complétement quand il s'agit de truander ou pas.
Des exemples y'en a plein, d'un côté tu as (et je cite ça au pif) les Balkany qui sont là depuis 3 plombes en magouillant ouvertement et les électeurs suivent. De l'autre tu as "l'éco-taxe" qui est un désastre de bout en bout...et le tout pour un truc utile qui est de dégager des thunes pour gérer les routes. La plupart des pays ont cela, les camions te liment les routes, tu fais payer pour la réfection. Sauf qu'on sait pas comment vendre le truc, on sort le terme écotaxe, on fait ca n'importe comment sous Sarko, on refile la patate chaude pour Hollande qui par chocotte de la rue fait tout arrêter.
Résultat, faut payer les sociétés sous contrat pour les portiques, faut payer pour désinstaller le tout après avoir payé pour installer et sinon les routes c'est nous qui payons.
Win-Win

Par contre si demain DSK se présente, limite il passe.

Jakovazor a écrit:

Forever Alone
T_T

Je suis pas sur Paname normalement ces jours là, mais si jamais c'est le cas, je te MP et on peut se faire une soirée jeux-pizza-bière si ça te branche (en plus dans mes souvenirs on est quasiment "voisins").

C'est bizarre mais je suis persuadé que tu n'as ni lu le bouquin de Zemmour ni l'article du gus l'ayant lu....
smile

Kek a écrit:

Pour un Psy ça doit être marrant de lire le bouquin et d'en tirer un profil mais là moi perso je jette l'éponge.

Un mec qui a eu le courage de tout lire, décortiquer et condenser:
http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20 … oints.html

257

(32 184 réponses, dans Ma vie de Cancrelat)

Moi c'est la mode des gros casque qui me fait marrer. Il est où l’intérêt à part de la péter et exposer ta hype (qui ne se voyait pas assez avec les intras blanc d'Apple).
A partir de là c'est normal que les casques Beats marchent. Ce sont les plus visibles et les plus chers, on te reconnait de loin comme un blaireau ou un mec à la mode (la limite entre les deux est mince).

Dans 20 ans ça deviendra le gimmick résumant les années 2010 dans les caricatures comme le ghetto-blaster résume les années 80.

صلاح الدين آكلى لحوم البش a écrit:

J'attends son ralliement à Marine, je mise sur un an avant les élections, de quoi participer à la campagne et espérer quelque chose. Peut-être après le changement de nom du parti.

Je crois que je vais abandonner le bouquin mais de ce que j'ai lu (60% environ) Alioakbar a sans doute raison, il est mur pour du bleu marine notre Zémmour.
Avant il se contenait (d'où ma déception sur ses précédents bouquins) mais là on a du "droit-de-l'hommisme" 5 fois par pages de temps en temps ainsi que tout le blabla FdS sur l'auvergnat de service qui asservit et manipule le français content d'être dans le camp des gentils. Le truc qui était ressorti lors du "Mohammed de Souche":

C’est drôle, à chaque fois qu’il y a un groupe d’ethnomasochistes moutonniers se prenant pour des rebelles, il y a au cœur de la bande un cpf plus malin qu’eux qui les mène par le bout du nez et qu’ils protègent comme une sorte de mascotte.
J’ai bien vu une dizaine de cas comme ça dans divers environnements (entreprises, administrations, clubs sportifs, forums internet, etc…).
Ce doit être le “je ne suis pas raciste, j’ai un ami noir” des temps modernes, plus hypocrite encore.

Bah y'a de ca dans le bouquin à plus ou moins ce niveau.

En très très gros si je dois résumer, la France sous une droite sociale à la De Gaulle c'était top. On disait merde à tout le monde, on avait une stature et on représentait quelque chose. Depuis on se couche devant tout le monde et la finance / les étrangers / les gays / la gauche / la droite /la culture anglo-saxonne ont détruit cette France.
Si je dois vite mater le choix politique aujourd'hui le seul parti qui propose quelque chose de "Gaullien" à la Zemmour c'est le FN.
Après j'ai pas lu la fin (et j'en ai pas le courage), peut-être qu'il déglingue aussi Marine qui sait...

Sinon pour exemple, le chapitre sur l'informatique:

12 août 1981
Du PC au PC
Quand on disait alors le PC, on parlait du parti communiste. Puis, le terme changea de sens. On s’habitua. À dire l’IBM PC, et puis, plus simplement, le PC, sans comprendre ou retenir que ces initiales signifient personal computer. Précision inutile. On avait bien remarqué que ces ordinateurs-là ne ressemblaient pas du tout aux énormes armoires vues dans 2001, l’odyssée de l’espace. Les hippies chevelus élevés dans les campus californiens des années 1960 avaient trouvé l’arme technologique qui briserait le monde standardisé et hiérarchisé de leurs parents ; les gigantesques ordinateurs de l’industrie d’après-guerre centralisés dans des salles immenses seraient remplacés par les ordinateurs individuels reliés en réseaux. Les esprits les plus poétiques songeaient à Lautréamont et à l’union improbable d’une machine à écrire et d’un téléviseur. Les différentes étapes de la gestation du beau bébé nous avaient échappé : en 1971, l’invention par Intel du premier microprocesseur, l’Intel 4004 ; la création du premier ordinateur vendu à des particuliers, l’Altaïr 8800, en 1975 ; le lancement de l’Apple II en 1977 ; et puis, en ce 12 août 1981, l’IBM PC, qui deviendrait, à force de millions d’exemplaires de multiples compatibles, le patron de nos bureaux.
Plus tard, on se rendrait compte que la France avait participé à cette aventure. Aux premières loges. Avec le Minitel, elle flirta avec internet ; avec le Micral, une société française, R2E, avait lancé dès 1973 la première machine vendue toute assemblée prête à l’emploi, que son inventeur, François Gernelle, avait appelée « micro-ordinateur ».
Comme pour l’avion ou l’automobile, les ingénieurs français avaient été au rendez-vous ; mais pas les commerçants ni les industriels. Banale histoire française. Tous les efforts du Plan calcul – et les milliards de francs dépensés par le général de Gaulle – se révélaient vains. Les petits bricoleurs inventifs made in France furent balayés par le rouleau compresseur américain, d’IBM à Apple, en passant par Microsoft, fondée en 1975 par Bill Gates et Paul Allen, qui, en cette même année 1981, édita l’un des trois systèmes d’exploitation pour l’IBM PC : le QDOS, qui devint rapidement le seul système installé d’office sur tous les IBM PC et les innombrables Compatibles PC, sous le nom de MS-DOS.
Le destin était tracé. L’Histoire était écrite. Plus rien ne serait comme avant : cette expression si galvaudée par les politiques et les publicitaires se révélerait pour une fois justifiée.
Notre génération aurait le privilège – et la malédiction à la fois – de vivre une nouvelle ère. Les historiens des Annales nous avaient enseigné que l’humanité avait connu une césure fondatrice au milieu du XVIIIe siècle, avec le lent passage d’une économie agricole (depuis la sédentarisation des anciens nomades, près de 2000 mille ans avant J.-C.) à une économie industrielle. Il nous faudrait peu à peu comprendre et admettre que nous connaissions une nouvelle transition fondamentale en ces années 1975-1981, avec le passage à l’économie informatisée.

« Et la France dans tout ça ? » se demandait de Gaulle, en 1944, lors de son premier voyage à New York, impressionné malgré lui par la « ville debout » chère à Louis-Ferdinand Céline. Et la France dans tout ça ?
La France avait très mal vécu la première transition historique. Elle était la grande puissance agricole, le grenier à blé de l’Europe ; ses vastes et riches étendues de terres cultivables compensaient les faibles rendements. La première puissance démographique et militaire d’Europe. Les physiocrates lui avaient appris que l’agriculture était la seule richesse qui soit ; l’industrie et le commerce n’étaient que vil superflu.
Son déclin débuta en ce milieu du XVIIIe siècle avec le traité de Paris de 1763 qui vit s’imposer au firmament la nouvelle puissance industrielle, à l’époque la seule : la Grande-Bretagne.
Les trésors d’héroïsme militaire (Napoléon et 1914-1918) ne pourront rien face à la force économique de l’ennemi héréditaire. Seuls d’autres pays industriels comme l’Allemagne, et ensuite surtout les États-Unis, parviendront à contester puis abattre la suprématie britannique.
Les Français n’ont jamais aimé l’industrie, en dépit de grands et brillants entrepreneurs, tels Louis Renault ou André Citroën ; ils ont associé l’usine à un monde de souffrance, d’exploitation, de saleté et de bruit : l’usine, pour les Français, c’est Germinal.
L’industrialisation française sera fort tardive, et liée au volontarisme d’hommes d’État exceptionnels – sans remonter au précurseur Colbert, Napoléon III, de Gaulle et Pompidou. Une fois encore dans l’Histoire millénaire d’une nation façonnée par lui, tout partait de l’État et revenait à l’État, au contraire de nos voisins britanniques, italiens ou allemands, et plus encore de l’exemple américain.
Seule l’automobile échappera à ce ressentiment français. Sans doute parce que cette invention française permit à l’individu né de la Révolution de s’émanciper des sociabilités collectives, villageoises, familiales et religieuses, dont les citoyens français avaient été libérés par le Code civil.
L’automobile, c’était l’industrie telle que les Français avaient fini par l’aimer. Un État omniprésent et omnipotent, que les entreprises soient privées ou publiques ; des patrons généreux avec leurs ouvriers ; des usines qui fabriquent des biens de consommation de haut statut social, la fameuse DS, « cathédrale de notre temps », selon le mot célèbre de Barthes.
L’industrie automobile, où était née la religion fordienne (« Je donne des salaires élevés à mes ouvriers pour qu’ils puissent acquérir mes voitures »), correspondait à l’idéal égalitaire français, qui avait en revanche honni le premier âge inégalitaire de l’industrie, celui de Mark Twain et des « barons voleurs ».

On ne tarderait pas à découvrir que l’âge de l’informatique produirait les mêmes bouleversements que celui de l’industrie ; nous ramènerait à ses débuts farouches. L’ordinateur personnel (et son corollaire internet) amplifierait le potentiel révolutionnaire de la vulgate idéologique soixante-huitarde : individualiste, cosmopolite, antihiérarchique, antiétatiste. Ni Dieu ni maître, ni frontière. L’informatique donnerait une réalité consumériste aux fameux slogans « Il est interdit d’interdire » et « Jouissez sans entraves ». Pour le meilleur et pour le pire, comme on le vit à partir des années 1990 dans le domaine de la musique, lorsque l’attrait de la gratuité détruisit l’industrie du disque et obligea les artistes à retrouver le chemin des salles de spectacle pour vivre, comme avant l’invention du microsillon, ruinant au passage cette grande invention française (Beaumarchais) du droit d’auteur.
Toutes les industries seront peu à peu menacées du syndrome musical. Certaines banques fermeront des agences, les distributeurs comme Darty ou la FNAC chancelleront, Virgin fermera ; les agences de voyage disparaîtront comme les librairies. Même l’État sera atteint par cette révolution. Les sous-préfectures seront en danger ; les bataillons de fonctionnaires aux Impôts ou même à l’Éducation dans le collimateur. Une administration devenue au fil du temps pléthorique vacillera ; un système bureaucratique envahissant, qui a son coût et ses lourdeurs, ses gaspillages et ses blocages, mais permettait aussi de tenir le choc en cas de crise grave, de chômage de masse, lorsque l’institutrice conservait son salaire alors que son mari ouvrier avait été licencié de son usine délocalisée ; une présence administrative nombreuse qui assurait aussi le maillage précis d’un territoire vaste et de faible densité, offrant une égalité réelle de traitement à tous les citoyens.
L’informatique encourage une décentralisation, une dispersion du pouvoir de décision contraire à notre tradition. Les hiérarchies intermédiaires sont dépassées, l’autorité doit se transmuer en animation. C’est le règne du cool, du (faux) sympa qui se trouve être un vrai tyran : Steve Jobs, Bill Gates, et les nouveaux grands patrons du CAC 40, se sont révélés des prédateurs de la meilleure eau. Encore une fois, la technologie des années 1970-1980 confirme et renforce le basculement comportemental et idéologique de Mai 68.
L’économie industrielle fut cruelle à ses débuts, mais elle était fondée sur l’échange entre un producteur et un consommateur ; le salarié étant aussi un consommateur, cet échange a fini par civiliser le capitalisme industriel. Pour imposer des débouchés à une production industrielle de masse, il avait fallu forger une économie de marché, abolir les particularismes, les privilèges et les péages du régime féodal. Faire la révolution.
Avec l’économie informatisée, cet équilibre subtil est balayé. Les usines sont transformées en lieux d’assemblage d’éléments fabriqués ailleurs et transportés par porte-conteneurs dirigés par des micro-ordinateurs. Le monde est réduit à un point, qui facilite la délocalisation des emplois, et disperse la cohésion de l’entreprise. Aide aussi les mafieux à blanchir leur argent mal acquis. Le salarié redevient un coût ; les libéraux triomphent ; les prédateurs accumulent des fortunes. Les Français, qui toléraient le capitalisme parce qu’il avait apporté dans ses bagages la société de consommation, n’ont jamais cessé de détester le libéralisme, bien que ses premiers théoriciens fussent autant français – Bastiat, Say, etc. – qu’anglais.
Les machines industrielles avaient aidé l’homme à devenir plus performant physiquement ; la machine informatique assiste son cerveau.
Elle stimule et développe une intelligence pratique de conception, de design, mais pas de contemplation. Les mathématiques partent de la question : qu’est-ce que c’est ? L’informatique de : comment faire ? Les Français sont beaucoup plus doués dans celles-là (ils accumulent les médailles Fields, deviennent de grands ingénieurs) que dans celle-ci (ils méprisent l’enseignement professionnel et les informaticiens). L’informatique stimule et consacre une intelligence à finalité pratique qui semble vulgaire pour le monde des idées pures.

Le capitalisme à l’ère informatisée redevient une jungle où règne la loi du plus fort, un monde hobbesien de la guerre de tous contre tous. Une violence de type féodal resurgit. L’économie informatisée ultracapitalistique redonne au capitalisme sa vocation meurtrière de pousse-au-crime, un système « qui porte la guerre comme la nuée porte l’orage », disait Jaurès.
La France n’a pas envie de voir que le capitalisme à l’ère informatisée redevient cette guerre de tous contre tous qu’elle a détestée au XIXe siècle ; pas envie de voir que la paix depuis 1945 n’aura pas été l’établissement définitif de la « paix éternelle ».

La structure est toujours la même. Avant ça marchait, on cite De Gaulle, puis action qui détruit tout, rappel à Mai 68 + 2-3 anecdotes invérifiables à la Zémmour (genre on préfère les maths à l'informatique...ah bon?)
Pour un Psy ça doit être marrant de lire le bouquin et d'en tirer un profil mais là moi perso je jette l'éponge. Si des gens trouvent des vérités dans ce gloubi-goulga, libre à eux.

La paire de chaussettes blanches est livrée comme accessoire pour tout achat de BIRKENSTOCK ®

Bon après en hiver quand il fait froid je rajoute une paire de chaussette blanche quand même.
(Et je triche, j'ai piqué cette superbe photo ici. Aeneman qui n'ose sans doute pas passer le cap Birkenstock, pourra y trouver toutes les réponses comme "Comment porter ses sandales BIRKENSTOCK : amples ou ajustées ?").

http://www.upix.fr/i/2014/10/22/CAxTOm5V.jpg
BIRKENSTOCK UBER ALLES§
#FIER

C'est un peu ce qui ressort de son bouquin je trouve. Le mec A PEUR.
Peur des femmes qui en veulent à ses couilles, peur des étrangers qui veulent le buter, peur du changement car c'est forcément moins bien.

Et j'en suis qu'au tiers (je me force et je lis en mode rapide) et bon on doit avoir un Ave De Gaulle toutes les 2 pages. Et oui un papa ça rassure quand même.

صلاح الدين آكلى لحوم البش a écrit:
reblochon a écrit:

Pardon ? 94% de cons, ça ne s'applique pas n'importe où ? Sans rire !

Comment mesures-tu ça ? Avec du bon sens ?

L'autre jour j'étais tombé sur un article anglais qui disait qu'un des soucis de la pensée humaine était qu'on ne s'incluait jamais dans un sous-groupe.
EUX sont cons, mais pas moi. EUX faut qu'ils paient, mais pas moi. EUX faut les pendre par les couilles, mais moi ca ne m'arrivera jamais.
Donc le truc des cons partout, cette image est beaucoup plus facile à se mettre en tête. Plus facile en tous les cas que de s'imaginer que Kevin bah il n'est pas vraiment différent de toi en vérité. Et que toi aussi tu votes comme un teubé.

Enfin que vous votiez comme des teubés. Moi je votes pas. Chuis pas con.

Je sais pas trop pourquoi y'a une telle focalisation dessus. C'est un totem à droite j'ai l'impression, Mai 68 à tout détruit et si aujourd'hui on se retrouve avec des pédés partout c'est bien à cause de cette catastrophe.
Alors autant je veux bien croire qu'il y'a eu un impact sur les mœurs, mais près de 50(!) ans plus tard faut pas pousser sur son importance.
Et les autres pays qui n'y ont pas eu le droit? Ah on me souffle à l'oreille que justement les pays les plus "ouverts" sont pour la plupart nordique et s'en foutaient de Mai68.

Pour en rajouter une couche par rapport aux pays nordique, cet amour de l'homme providentiel (le dernier c'était De Gaulle et depuis plus rien) je capte pas. En être encore à attendre un Jésus 2.0 qui réglera tout d'un coup de baguette magique. Les mecs qui en sont encore à ce stade, ils méritent de se prendre le mur.
Les Allemands depuis Adolf, ils attendent moins.

http://www.upix.fr/i/2014/10/15/w82IGp.jpg

[video]https://www.youtube.com/watch?v=QIJbTUm-0ds[/video]

J'avais lu un de ses bouquins la mélancolie française et j'ai été déçu. Déçu car je m'attendais à un énième livre droito-poujadisto-cryptique alors que c'était facilement lisible. Mais inutile à mon sens. Revoir l'histoire en posant des "Et si on avait fait ça..." partout pour arriver à une France Badass, je n'y vois pas d’intérêt. Ceux qui rêvent de la France éternelle en bandouillant mollement dans leur lit, ça doit leur faire plaisir mais vlà le lectorat de niche quoi hmm

Bon depuis notre Zémmour a sorti un autre bouquin qui méga-cartonne.
Je suis en train de le lire. Enfin je tente car pour l'instant c'est vraiment mais vraiment chiant. Je vais pas pourvoir en parler sur 3 pages vu que j'en suis qu'au début mais je peux dire 2-3 trucs:
-personne ne le lira tellement c'est chiant à lire. Donc les centaines de milliers de ventes c'est plutôt un coup de pub qui a marché sur une population QUI A PEUR mais qui s'en servira comme cale-meuble
-Eric nous refait le coup de relire l'histoire et d'y voir ce qu'il veut. A chacun ses TOCs
-Mai 68 doit être un traumatisme pour la droite vu comment elle est responsable de tout.
-Entre BHL et Zemmour on est vraiment chanceux d'avoir tant d'intellos mis en avant...

266

(1 017 réponses, dans Questions / Réponses)

Je pense que j'y passerai à cette clope électronique parce que je n'arrive pas à arrêter durablement.
A chaque sortie je me reprends un paquet de clopes, je refume quelques jours par la suite et j'arrête de nouveau. Je fais ça que j'ai "officiellement" arrêté depuis genre 2-3 ans.
En fait si j'arrête c'est pour toutes les emmerdes (prix, santé, odeur) mais pas vraiment pour l'envie d'arrêter. La nicotine comme la caféine est quand même un stimulant sympa et la vie est bien tristoune sans cela.

Ce qui me bloque c'est de rebasculer activement dans la case "fumeur". Entre fumer 1 paquet par mois (en moyenne va-t-on dire, ca va de 0 sur 6 mois à 1 paquet/jour pendant 1 semaine) et vapoter tous les jours...je sais pas ce qui est le mieux.
Ce qui amène le deuxième point. La clope on sait depuis des décennies que c'est de la daube. Vapoter sur le papier c'est mieux...par contre le truc qui me chiffonne c'est qu'on inhale des arômes alimentaires...prévus pour être digérés et non fumés.

Je suis pas pressé vu que là je suis sevré et l'hiver venant j'ai vraiment pas envie de m'y remettre mais j'ai eu du mal au dernier arrêt (j'ai repris d'ailleurs lors de la dernière Zilcon pendant genre 10-15 jours)...ca me turlupine.

267

(3 821 réponses, dans Jeux)

C'est marrant parce que Mass Effect j'ai finalement bien aimé. Le 1 est bof, le 3 limite foutage de gueule mais dieu sait pourquoi le 2 j'ai surkiffé. Du coup j'en garde un plutot bon souvenir.
Par contre si jamais tu n'accroches pas au scénario et au fluff...c'est sur que ce n'est pas le gameplay qui te fera aimer le jeu.
Et je dis ça, j'ai détesté Dragon Age et KOTOR. Mais bon faut pas déconner, j'ai acheté le tout en promo, pas touché aux DLCs et osef des possibles suites-prologues-reboots.

Après y'a des jeux qui filent un poil plus la trique en ce moment:
[video]https://www.youtube.com/watch?v=jn0B8fVfWFI[/video]
Celui-là je me tate à le prendre là tout de suite au plein tarif.

Kek a écrit:

Ça donne presque envie de se mettre aux wargames

http://www.trictrac.tv/video/Alinea_de_ … t_de_l_Est

http://www.trictrac.tv/video/Alinea_191 … de_l_Ouest
Après la vidéo sur le front russe de 45, la vidéo sur le début de la guerre de 14-18. C'est toujours aussi passionnant.

269

(3 631 réponses, dans Jeux)

Oh encore que c'est plus faisable en solo que Minecraft.
Là tu dois looter et crafter du matos pour rendre ton perso badass. La "construction" est somme toute secondaire, tu peux te contenter d'une bicoque à 2 balles et partir latter du streums dans les couloirs que tu mines et arpentes. Y'a des boss, des trucs aléatoires et ca se laisse jouer avec plaisir.

J'y ai joué en solo et j'ai limite préféré à Minecraft. Par contre vaut mieux jouer les 2-3 premières heures avec un wiki ouvert histoire de ne pas être totalement paumé.
Pour 2 euros, tu peux pas vraiment te planter en le prenant, surtout si tu aimes le spelunking (si ton truc c'est faire le remake de la tour eiffel alors là oui Terraria c'est pas ca).

270

(1 078 réponses, dans La une)

Effectivement c'était sdb tout court mais ça n'a pas marché, après ça reste sans doute un soucis matériel. Sinon merci pour le tuyau, seul j'aurai galéré comme un con.
On a beau dire que Linux devient de plus en plus user-friendly, ça reste putain d'obscur. J'ai dû rentrer une commande à la main, pas de retour visuel, pas de demande de confirmation, je tape sda au lieu de sdb et c'est le disque dur de l'ordi qui gicle. Et pour savoir que ça tourne pas de barre d'avancement ou autre message, heureusement qu'il y'a une petite loupiote d'activité sur mon adaptateur MicroSD, y'a que ce dernier qui me permettait de me dire qu'effectivement il se passait un truc.

Alors ouais je n'utilise Linux que lorsque je suis dans la mouise du coup j'ai un apriori négatif mais quand même ca reste un truc de nerds barbus à Tshirts douteux.

271

(1 078 réponses, dans La une)

Merci Kane!
Bon la commande marche mais la carte à l'air HS. J'en ai pas d'autre sous la main, j'en choperai une demain pour voir si ca passe.

272

(1 078 réponses, dans La une)

Kek a écrit:

Bon le Kobo Glo de ma copine vient de se bloquer et j'ai une sérieuse envie de le balancer par la fenêtre.
Impossible de l'allumer, la diode clignote en vert-bleu quand j'actionne le bouton On-Off et c'est tout. Le bouton Soft-Reset ne donne rien et le Hard-Reset (bouton de l'éclairage + bouton On-Off) non plus. Le Hard Reset se lance (lumière en violet) mais après 2 minutes ca ne donne rien, pas d'écran de démarrage, pas de possibilité de l'allumer.

Dans ces cas là, la logique (merci IT Crowd) c'est de débrancher la batterie, attendre un peu et rebrancher le tout en espérant que ca vire le blocage. Sauf que pas de vis, pas de clips, pas moyen d'ouvrir le truc.
Donc j'attends que la batterie se vide d'elle même ou je balance cette merde avec violence contre un mur. Je me tate.

P.S:
Putain entre ma vieille Sony qui tourne comme une horloge et cette merde bling-bling de Kobo, je me mords les doigts d'avoir offert ca à ma copine au lieu d'un bête Kindle. Entre les Firmwares foireux, les bugs et ca, j'ai été gâté.

Bon alors j'ai désormais besoin d'aide linuxienne.
Les Resets n'ayant pas marché, je mise sur une corruption du soft de la Kobo. J'ai un peu zoné sur le net et j'ai vu que la mémoire de cette machine était en fait sur une bête carte microSD interchangeable en ouvrant le capot (qui finalement s'ouvre facilement si on y va doucement). J'ai quémandé une image fonctionelle  d'une Kobo sur mobileread et je me retrouve avec un fichier glo_factory_serial0.img
Jusque là tout va bien, il suffit d'écraser le contenu de la carte MicroSD avec cette image.
SAUF QUE
C'est du Fat32 machin pas windows-proof. Je lance donc Knoppix et depuis je peste.
C'est quoi la commande exacte pour monter/écraser cette image sur la carte SD?
Je testé la commande dd mais bordel je ne connais pas la nomenclature et je reste bloqué sur cette connerie de ligne de commandes sans savoir si ca marche/ca buggue/je fais portnawak.

HELP.

273

(1 078 réponses, dans La une)

Ma liseuse Sony elle marche niquel depuis 4 ans. Un jour je changerai peut-être la batterie mais pour l'instant ca roule. Je rale juste sur Kobo et son matos de merde, nuance smile

274

(1 078 réponses, dans La une)

L'éclairage marche, je mise donc sur 10-12h max smile

275

(1 078 réponses, dans La une)

En mode USB, l'ordi ne voit rien mais ouais j'ai pas testé avec leur soft. Je vais déjà laisser la batterie se décharger et si jamais ça ne marche toujours pas après je testerai le soft avant d'aller gueuler à la FNAC.