Kuro a écrit: On sait très tôt toute la nature de l'ambiguïté que la fin va soulever. Un poil prévisible donc.
Moi étant fatigué des niveaux imbriqués, je prends le happyend sans me poser de questions.
JulienGW1 a écrit:Bon et désolé de revenir la dessus m’enfin il s’offre un bac à sable free style, le rêve de tout réa un peu barré et il en sort que des buildings de merde en série. Ok l’imagination des architectes.
Ca c’est frustrant je trouve. A part les essais de Page à Paris, on a uniquement droit à Manhattan et un hotel, mais en même temps :
Conrad a écrit:ça a commencé à me gonfler un peu quand ils nous sortent la base dans la neige.
Parce que dans le genre n’importe quoi un peu ridicule … (bastons à ski, hummer à chenilles, etc…).
Conrad a écrit:Sinon, je me pose la question maintenant, qu'est-ce qui empêche Ariane quand il se font attaquer dans le premier niveau de blinder la voiture, rendre le bâtiment impénétrable, etc ? Eames rêve bien d'un bazooka pour dégommer un gars en hauteur.
OK il faut pas changer une fois dans le reve, mais qu’est ce que ça leur coutait de prévoir un fucking bunker au premier niveau, plutôt que laisser Yusuf faire du rodéo en minivan ? Ben on savait pas que Fischer avait été entrainé et son subconsient militarisé. Sans blague ! Paye tes pros du renseignement et de la prévoyance.
Sinon vu qu’au final ce qui intéresse Saito c’est que la firme explose, pas seulement faire les cons dans un 747, à sa place j’aurais attendu un mois ou deux que Fischer foutte le bordel au conseil d’administration. Mais c’est un détail.
En somme, une bonne idée de base, mais un peu délayée à partir du dernier tiers pour caser le quota de scènes boum-boum. Mais toute la mise en place de l’arnaque est excellente. Et c’est très joli à voir.
Sinon ça m’a fait penser à The Cell sorti il y a un bon moment. Quelqu’un l’a vu celui là ?